PAPEETE, mercredi 21 août 2013. La filière cocotier occupe une place importante en Polynésie française aussi bien d’un point de vue économique, social, culturel qu’environnemental. En 2013, les superficies en cocoteraie exploitées représentent 11 594.4 hectares. Ces dernières années, la production de coprah a augmenté de manière significative pour atteindre 12300 tonnes en 2012 (dont 77% en provenance des Tuamotu), soit le niveau de production de 1990. Le nombre de coprahculteurs a également dépassé le seuil des 10 000 (+64% depuis 2010). En 2012, l’Huilerie de Tahiti a produit environ 7 000 tonnes d’huile brute. Les exportations d’huile brute de coprah (711 millions F CFP) en et de monoï (229 millions de F CFP) ont représenté 940 millions F CFP pour 2012.
Aujourd’hui, il est indispensable de pérenniser et de moderniser la filière coprah et plus généralement l’ensemble de la filière cocotier polynésienne, afin de l’ancrer dans son environnement actuel tout en sécurisant au maximum le niveau de revenu des populations concernées, de lui donner un sens plus durable et de maîtriser le soutien financier public indispensable à son existence. Pour cela, le ministère de l’agriculture prévoit de mener une régénération active des plantations vieillissantes ou détériorées, en particulier sur les atolls les plus impactés, et une diversification des modes de valorisation des produits et sous-produits de la filière cocotier.
Pour ce faire, le ministère de l'agriculture prévoit la mise en œuvre d’un plan d’action reposant notamment sur trois volets : un volet agronomique pour améliorer la productivité des cocoteraies ; un volet qualitatif pour améliorer la qualité du coprah et enfin un volet qui concerne la diversification de la filière. L'objectif est dans ce domaine de soutenir le développement de nouvelles productions issues du cocotier et rechercher une meilleure valorisation de l’huile de coprah.
Aujourd’hui, il est indispensable de pérenniser et de moderniser la filière coprah et plus généralement l’ensemble de la filière cocotier polynésienne, afin de l’ancrer dans son environnement actuel tout en sécurisant au maximum le niveau de revenu des populations concernées, de lui donner un sens plus durable et de maîtriser le soutien financier public indispensable à son existence. Pour cela, le ministère de l’agriculture prévoit de mener une régénération active des plantations vieillissantes ou détériorées, en particulier sur les atolls les plus impactés, et une diversification des modes de valorisation des produits et sous-produits de la filière cocotier.
Pour ce faire, le ministère de l'agriculture prévoit la mise en œuvre d’un plan d’action reposant notamment sur trois volets : un volet agronomique pour améliorer la productivité des cocoteraies ; un volet qualitatif pour améliorer la qualité du coprah et enfin un volet qui concerne la diversification de la filière. L'objectif est dans ce domaine de soutenir le développement de nouvelles productions issues du cocotier et rechercher une meilleure valorisation de l’huile de coprah.
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