VIENNE, 16 septembre 2014 (AFP) - Un agent de police autrichien chargé de contrôler les excès de vitesse a été intégralement aspergé de matières fécales dans l'explosion d'une "bombe à lisier", un piège original apparemment tendu à son intention, a-t-on appris mardi auprès de la police.
Le dispositif, placé à un endroit fréquemment utilisé pour les contrôles radars, le long d'une route nationale, a explosé quand l'agent a voulu prendre position, maculant entièrement le fonctionnaire sans toutefois le blesser physiquement.
La machine infernale était constituée d'une charge explosive, d'un seau rempli de lisier et d'un détonateur relié à une cordelette tendue au travers du chemin d'accès, selon les premiers éléments de l'enquête.
L'incident s'est produit dans la commune de Stall ("porcherie" ou "étable" en allemand), en Carinthie (sud de l'Autriche), mais aucun lien entre la toponymie et le mode opératoire n'a été établi.
La police a ouvert une enquête en raison de la facture "professionnelle" du piège et des risques encourus. "On n'ose imaginer ce qui aurait pu se passer si l'agent s'était trouvé plus près, ou si un enfant avait déclenché l'explosion", a déclaré un porte-parole, Rainer Dionisio.
phs/plh
Le dispositif, placé à un endroit fréquemment utilisé pour les contrôles radars, le long d'une route nationale, a explosé quand l'agent a voulu prendre position, maculant entièrement le fonctionnaire sans toutefois le blesser physiquement.
La machine infernale était constituée d'une charge explosive, d'un seau rempli de lisier et d'un détonateur relié à une cordelette tendue au travers du chemin d'accès, selon les premiers éléments de l'enquête.
L'incident s'est produit dans la commune de Stall ("porcherie" ou "étable" en allemand), en Carinthie (sud de l'Autriche), mais aucun lien entre la toponymie et le mode opératoire n'a été établi.
La police a ouvert une enquête en raison de la facture "professionnelle" du piège et des risques encourus. "On n'ose imaginer ce qui aurait pu se passer si l'agent s'était trouvé plus près, ou si un enfant avait déclenché l'explosion", a déclaré un porte-parole, Rainer Dionisio.
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