PAPEETE, le 11 septembre 2014 - Avec des dizaines de milliers de vidéos sur YouTube, nos requins sont certainement nos animaux les plus emblématiques.
Quelle star locale peut se vanter d’avoir plus de 50 000 vidéos amateurs et professionnelles qui lui sont consacrées sur YouTube, qui cumulent des centaines de milliers, voire des millions, de vues ? Il n’y a pas à dire, nos requins savent se faire remarquer.
Une des plus vues avec 160 000 lectures est une vidéo de tout juste 40 secondes. Elle montre un chien qui court après de petits pointes noires pour essayer, en vain, d’en capturer un. Ce succès est – comme souvent – dû à un titre racoleur : « Dog Attacking Sharks ».
D’autres vidéos, cette fois professionnelles, ne comptent pas sur le buzz mais sur la qualité pour accumuler les spectateurs. Les documentaires mis en ligne plus ou moins légalement, extraits de la télévision polynésienne ou des chaines anglophones spécialisées (Discovery Channel en tête) cumulent de bons scores.
Enfin, dans les « vraies » vidéos amateurs de requin, deux catégories émergent à parts égales :
- Les touristes en palme-masque-tuba qui se font de petites frayeurs en s’approchant de pointes noires ou de jeunes individus d’espèces moins communes
- Les plongeurs en bouteilles qui filment des animaux gros et rares – requins-tigres, requins-citrons, et même quelques exceptionnels requins-baleines – ou de grosses réunions de ces prédateurs dans des « spots » connus mondialement : le Mur de Requins de Rangiroa et la Passe Sud de Fakarava en particulier
Quelle star locale peut se vanter d’avoir plus de 50 000 vidéos amateurs et professionnelles qui lui sont consacrées sur YouTube, qui cumulent des centaines de milliers, voire des millions, de vues ? Il n’y a pas à dire, nos requins savent se faire remarquer.
Une des plus vues avec 160 000 lectures est une vidéo de tout juste 40 secondes. Elle montre un chien qui court après de petits pointes noires pour essayer, en vain, d’en capturer un. Ce succès est – comme souvent – dû à un titre racoleur : « Dog Attacking Sharks ».
D’autres vidéos, cette fois professionnelles, ne comptent pas sur le buzz mais sur la qualité pour accumuler les spectateurs. Les documentaires mis en ligne plus ou moins légalement, extraits de la télévision polynésienne ou des chaines anglophones spécialisées (Discovery Channel en tête) cumulent de bons scores.
Enfin, dans les « vraies » vidéos amateurs de requin, deux catégories émergent à parts égales :
- Les touristes en palme-masque-tuba qui se font de petites frayeurs en s’approchant de pointes noires ou de jeunes individus d’espèces moins communes
- Les plongeurs en bouteilles qui filment des animaux gros et rares – requins-tigres, requins-citrons, et même quelques exceptionnels requins-baleines – ou de grosses réunions de ces prédateurs dans des « spots » connus mondialement : le Mur de Requins de Rangiroa et la Passe Sud de Fakarava en particulier
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