Parmi les 7 points de revendications que comptait le protocole d’accord signé entre Mario Banner, directeur du port, et les syndicats, celui de la sécurité figurait au premier plan. Prétexte pour les uns, nécessité pour les autres, il ressort toutefois que le port autonome mériterait de revoir ses mesures de sécurité actuelles qui, au regard des nombreux accidents survenus, sont insuffisantes « et inadaptées » selon les acconiers.
Comme dans tous les ports du monde entier, la manutention des marchandises (déchargement et chargement des navires de commerce) dans le Port de Papeete est concédée à des sociétés privées d’acconage, de manutention et de transport qui sont soumises à l’obligation de service public. Les trois sociétés d’acconage privées sont JA Cowan&Fils, la Sat Nui et la Cotada. Toutes trois détiennent une autorisation d’outillage privé avec obligation de service public valable pour une durée de 20 ans.
Dans leur mode de fonctionnement, ces sociétés ont le libre choix du recrutement de leur personnel et des moyens à mettre en oeuvre pour les opérations sur les navires. Les marchandises qui transitent dans les installations du Port de Papeete sont assujetties au versement de droits de quai. Ils sont facturés en contrepartie de l’utilisation des quais et des terres pleins dans le cadre des opérations de débarquement, d’embarquement et de transbordement des marchandises. Ils sont proportionnels au tonnage des marchandises manipulées. Seules les marchandises dites de première nécessité figurant dans l’Arrêté n°621/CM du 28 avril 1999 sont exemptées de tout droit.
Il arrive que d’autres entreprises externes (de transport ou de déménagement) envoient leurs propres agents dans la zone sous douane. Ces derniers ont la tâche de vérifier l’état des marchandises fraichement débarquées, de la conformité par rapport aux produits demandés, au comptage et c’est précisément là que des problèmes de sécurité se posent car si les acconiers aguerris portent effectivement des casques et des chaussures à embout ferrés, il n’en est pas de même pour des intervenants externes. Ceux-là mêmes qui sont employés par les sociétés externes. L’absence totale de sécurité met en péril le travail des quelques 400 acconiers professionnels.
Comme dans tous les ports du monde entier, la manutention des marchandises (déchargement et chargement des navires de commerce) dans le Port de Papeete est concédée à des sociétés privées d’acconage, de manutention et de transport qui sont soumises à l’obligation de service public. Les trois sociétés d’acconage privées sont JA Cowan&Fils, la Sat Nui et la Cotada. Toutes trois détiennent une autorisation d’outillage privé avec obligation de service public valable pour une durée de 20 ans.
Dans leur mode de fonctionnement, ces sociétés ont le libre choix du recrutement de leur personnel et des moyens à mettre en oeuvre pour les opérations sur les navires. Les marchandises qui transitent dans les installations du Port de Papeete sont assujetties au versement de droits de quai. Ils sont facturés en contrepartie de l’utilisation des quais et des terres pleins dans le cadre des opérations de débarquement, d’embarquement et de transbordement des marchandises. Ils sont proportionnels au tonnage des marchandises manipulées. Seules les marchandises dites de première nécessité figurant dans l’Arrêté n°621/CM du 28 avril 1999 sont exemptées de tout droit.
Il arrive que d’autres entreprises externes (de transport ou de déménagement) envoient leurs propres agents dans la zone sous douane. Ces derniers ont la tâche de vérifier l’état des marchandises fraichement débarquées, de la conformité par rapport aux produits demandés, au comptage et c’est précisément là que des problèmes de sécurité se posent car si les acconiers aguerris portent effectivement des casques et des chaussures à embout ferrés, il n’en est pas de même pour des intervenants externes. Ceux-là mêmes qui sont employés par les sociétés externes. L’absence totale de sécurité met en péril le travail des quelques 400 acconiers professionnels.
Des mesures de sécurité indispensables
Le mouvement de grève qui avait paralysé le port 17 jours durant, mettait ce point en exergue. « Tous les jours, on voit des véhicules et des gens de l’extérieur qui entrent directement dans la zone sous douane, alors que cela est strictement interdit. Aux Etats Unis ou en France, on ne voit pas cela. » expliquait un ouvrier d’une des entreprises d’acconage.
Certains témoignages accréditent de la nécessité et l’urgence d’appliquer des mesures de sécurité strictes, via des contrôles plus pointus. « Il le faut, je me souviens un jour lorsqu’un élévateur avait percuté une voiture pendant une marche arrière. La question qui s’était posée à cette époque-là, que faisait le conducteur dans cette partie de la zone sous douane ? » nous livrait un grutier. D’après d’autres témoignages, il y aurait déjà eu de nombreux incidents similaires et aujourd’hui, grâce notamment au protocole d’accord signé avec la direction du port autonome, des mesures drastiques seront mises en place. « L’idéal, comme nous l’expliquait un responsable d’équipe d’acconiers, c’est que toutes les personnes qui viennent juste récupérer quelques marchandises ou alors vérifier des produits, n’entrent plus par l’entrée principale (située côté EST) car c’est justement là que l’activité y est fébrile. En revanche, il existe une guérite côté ouest par où on pourrait faire passer tout ce petit monde. Le but n’est pas d’empêcher les gens de venir, mais il faut qu’ils puissent le faire en toute sécurité, sans craindre de provoquer un accident ou d’en être victime. »
Même constat pour la rade. « Il est arrivé que des containers soient tombés dans la mer accidentellement. Imaginez si, à ce moment-là, une pirogue passait par là. C’est pour cela que des balises devraient être installées, le temps des déchargements. » La crainte des « hommes du port » est, effectivement, qu’un tel drame survienne pendant l’arrivée d’un navire. Heureusement, le protocole d’accord signé avec la direction du port prévoit des réunions pour la mise en place des mesures préconisées. D’ailleurs, le ministre de l’équipement, en charge du port, Bruno Marty, avait confirmé l’importance de régler cette question le plus rapidement possible.
TP
Le mouvement de grève qui avait paralysé le port 17 jours durant, mettait ce point en exergue. « Tous les jours, on voit des véhicules et des gens de l’extérieur qui entrent directement dans la zone sous douane, alors que cela est strictement interdit. Aux Etats Unis ou en France, on ne voit pas cela. » expliquait un ouvrier d’une des entreprises d’acconage.
Certains témoignages accréditent de la nécessité et l’urgence d’appliquer des mesures de sécurité strictes, via des contrôles plus pointus. « Il le faut, je me souviens un jour lorsqu’un élévateur avait percuté une voiture pendant une marche arrière. La question qui s’était posée à cette époque-là, que faisait le conducteur dans cette partie de la zone sous douane ? » nous livrait un grutier. D’après d’autres témoignages, il y aurait déjà eu de nombreux incidents similaires et aujourd’hui, grâce notamment au protocole d’accord signé avec la direction du port autonome, des mesures drastiques seront mises en place. « L’idéal, comme nous l’expliquait un responsable d’équipe d’acconiers, c’est que toutes les personnes qui viennent juste récupérer quelques marchandises ou alors vérifier des produits, n’entrent plus par l’entrée principale (située côté EST) car c’est justement là que l’activité y est fébrile. En revanche, il existe une guérite côté ouest par où on pourrait faire passer tout ce petit monde. Le but n’est pas d’empêcher les gens de venir, mais il faut qu’ils puissent le faire en toute sécurité, sans craindre de provoquer un accident ou d’en être victime. »
Même constat pour la rade. « Il est arrivé que des containers soient tombés dans la mer accidentellement. Imaginez si, à ce moment-là, une pirogue passait par là. C’est pour cela que des balises devraient être installées, le temps des déchargements. » La crainte des « hommes du port » est, effectivement, qu’un tel drame survienne pendant l’arrivée d’un navire. Heureusement, le protocole d’accord signé avec la direction du port prévoit des réunions pour la mise en place des mesures préconisées. D’ailleurs, le ministre de l’équipement, en charge du port, Bruno Marty, avait confirmé l’importance de régler cette question le plus rapidement possible.
TP
Te pārurura’a i Motu Uta : te mau fa’anahora’a rū
I rotopū i na anira’a e hitu o tei pa’o hia i roto i te parau fa’aaura’a, tei tārima hia e te ti’a fa’atere nō te uāhu nō Pape’ete, ‘e te mau ti’a aupūpū, ‘ua tu’u hia te tuha’a nō te pārurura’a i mua roa. Nō vētahi, e tāvirira’a parau noa teie, ‘āre’a nō te mau rave ‘ohipa, e ‘ohipa ti’a o te reira, te mana’o hia ra e ti’a ia fa’a’ohipa o teie tumu parau, i muri noa i te rahira’a o te mau fifi i ‘ite a’e na hia i taua vāhi ra.
Mai i ni’a i te mau uāhu ato’a i te ao nei, nā te mau taiete utara’a ‘e tātara’a tauiha’a e ha’apa’o nei i te reira mau fa’anahora’a i Motu Uta a’e ra. E fa’ahepo hia rātou i te pāhono i te mau anira’a a te mau ‘ona taiete. E toru rātou mau taiete o te ha’a nei i’ō nei : JA Cowan&Fils, te Sat Nui ‘e o Cotada. E parau fa’ati’a tā rātou nō te pae’au o te ha’amauiha’ara’a i te mau taiete ‘e ‘ere na te hau, e mana i te reira parau fa’ati’a nō te hō’ē tau roara’a 20 matahiti.
I roto i tā rātou huru fa’aterera’a, e mana ti’amā tō teie mau taiete i te tihepū i tā rātou mau ti’a rave ‘ohipa, mai nō te fa’anaho ato’a i te mau tāpura’a ‘ohipa i ni’a i te mau pahī rarahi. ‘Ia tomo ana’e mai i te mau tao’a i ni’a i te uāhu, e ‘aufau hia i tetahi tuha’a moni pi’i hia « tute uāhu ». I teie moni, e noa’a hia i te mau taiete e tātara’a i tā rātou mau tauiha’a i tō uāhu nei, i te fa’a’uta mai i taua mau tao’a ra, tae noa ato’a atu i te ha’ataui i te vaira’a o te mau tauiha’a. E fa’a’aufau hia i teie tute ia au i te fāito tauiha’a e ō mai ra. ‘Āre’a nō teie mau mā’a parau hia « PPN », ‘aita teie e ha’atute hia.
I tetahi ā mau taime, ē fa’a’ohipa ato’a nei te mau taiete nō rāpae i tā rātou iho mau ti’a, i teie ihoa ra vāhi e tātara hia nei i te mau ‘āfata ‘auri rarahi. Tā rātou ‘ohipa : te hi’ora’a ïa i te huru o te mau tao’a i tei mātara mai, te hi’ora’a ato’a mai te peu o te reira mau ānei ihoa te mau tao’a tei tītau hia, te nūmerara’a ‘e tei reira te fifi e ‘ite hia ai, nō te mea, mai tei peu mea ha’apa’o ihoa te mau rave ‘ohipa o nā taiete to’o toru nei, i tā rātou mau taupo’o pāruru ‘e te tī’ā ‘auri hia, ‘e ‘ere hō’ē ā i te huru nō te mau ti’a ‘ohipa o te mau taiete nō rāpae mai. Na teie huru tau’a ‘orera’a e riro i te ha’afifi i te ‘ohipa o na ti’a rave ‘ohipa e 400 o te uāhu.
Te mau fa’anahora’a pārurura’a e fa’ahepo hia i te rave
‘Ua tu’u hia i teie tumu parau i mua roa o te mau anira’a o te mau aupūpū. « I te mau mahana ato’a, te ‘ite noa ra mātou i te mau pere’o’o ‘e te mau ta’ata hururau nō rāpae mai o tē tomo noa mai mai i terā, mea ‘ōpani ‘eta’eta hia ho’i. ‘Aita ‘oe e ‘ite i teie huru fa’anahora’a i te mau pae fenua marite a ore ra i te fenua farāni. » i fa’ahiti mai i te reo o te hō’ē ti’a rave ‘ohipa nō te uāhu.
Te tūtava nei ra i tetahi mau fa’ahitira’a mana’o i te rūra’a ia fa’a’ohipa hia i te mau tāpura fa’anahora’a i te pae o te pārurura’a i te mau ti’a rave ‘ohipa. ma te fa’a’eta’eta fa’ahou atu ā i te mau hi’opo’ara’a. « Te ha’amana’o ra vau i te ūra’a atu i tetahi pereo’o īa tetahi pereo’o amora’a tauiha’a, i taua taime ra, te ui maere nei mātou ‘eāha ho’i tā teie ta’ata ‘ohipa i’ō nei ? » i ani mai ra i tetahi ti’a fa’a’ohipa i ni’a i te hīvi teitei. Ia au i te mau parau e fa’aro’o noa hia ra, ‘ua ‘ite a’e na hia i teie huru fifi, i teienei mahana, ‘aua’e māoti teie parau fa’aau i tārima hia, e rave hia i tetahi mau fa’anahora’a ha’avī. « te mea au roa atu, ‘eiāha teie mau pereo’o e fa’atomo fa’ahou hia ma te ‘ūputa rarahi, terā ra, e nehenehe īa rātou e tomo ma tetahi ‘ūputa ta’a ‘ē, i ha’amau hia ma te pae raro tō’o’a o te rā. ‘E ‘ere nō te pāto’i īa ratou i te haere mai, teie ra, ia nehenehe rātou e haere mai nā roto i te hō’ē arata’ira’a pāruru ‘e te nahonaho maita’i, ma te ‘ore ato’a rātou ia ha’afifi hia. »
Hō’ē ā hi’ora’a i te ‘o’o’a nō Pape’ete a’e ra ? « ‘Ua tāhuri a’e na tētahi ā mau ‘āfata ‘auri rarahi i roto i te miti. ‘Ā hani pa’ai, i te reira iho taime, te tere mai ra i tētahi va’a. Nō reira, mea tano ia tāmau hia i tetahi mau rēni tā’ōti’ara’a, i roto i te ārea taime tē tātara hia nei i te mau tauiha’a. » ‘Oia mau, tē teiā nei te mau rave ‘ohipa nō Motu Uta ‘ia tupu noa atu i teie huru ‘ati. ‘Aua’e ra, ‘ua fa’anaho i te parau fa’aau ‘ia tārena hia i te mau fārereira’a tuatāpapara’a ‘ohipa nō teie tumu parau. ‘Inaha, ‘ua ha’apāpū a’e na mai o Bruno Marty, te fa’atere hau nō te mau ‘ohipa rarahi, i te faufa’a ‘ia oti ‘oi’oi noa i teie mau ‘ōpuara’a nō te ‘ohipa pāruru.
TP
I rotopū i na anira’a e hitu o tei pa’o hia i roto i te parau fa’aaura’a, tei tārima hia e te ti’a fa’atere nō te uāhu nō Pape’ete, ‘e te mau ti’a aupūpū, ‘ua tu’u hia te tuha’a nō te pārurura’a i mua roa. Nō vētahi, e tāvirira’a parau noa teie, ‘āre’a nō te mau rave ‘ohipa, e ‘ohipa ti’a o te reira, te mana’o hia ra e ti’a ia fa’a’ohipa o teie tumu parau, i muri noa i te rahira’a o te mau fifi i ‘ite a’e na hia i taua vāhi ra.
Mai i ni’a i te mau uāhu ato’a i te ao nei, nā te mau taiete utara’a ‘e tātara’a tauiha’a e ha’apa’o nei i te reira mau fa’anahora’a i Motu Uta a’e ra. E fa’ahepo hia rātou i te pāhono i te mau anira’a a te mau ‘ona taiete. E toru rātou mau taiete o te ha’a nei i’ō nei : JA Cowan&Fils, te Sat Nui ‘e o Cotada. E parau fa’ati’a tā rātou nō te pae’au o te ha’amauiha’ara’a i te mau taiete ‘e ‘ere na te hau, e mana i te reira parau fa’ati’a nō te hō’ē tau roara’a 20 matahiti.
I roto i tā rātou huru fa’aterera’a, e mana ti’amā tō teie mau taiete i te tihepū i tā rātou mau ti’a rave ‘ohipa, mai nō te fa’anaho ato’a i te mau tāpura’a ‘ohipa i ni’a i te mau pahī rarahi. ‘Ia tomo ana’e mai i te mau tao’a i ni’a i te uāhu, e ‘aufau hia i tetahi tuha’a moni pi’i hia « tute uāhu ». I teie moni, e noa’a hia i te mau taiete e tātara’a i tā rātou mau tauiha’a i tō uāhu nei, i te fa’a’uta mai i taua mau tao’a ra, tae noa ato’a atu i te ha’ataui i te vaira’a o te mau tauiha’a. E fa’a’aufau hia i teie tute ia au i te fāito tauiha’a e ō mai ra. ‘Āre’a nō teie mau mā’a parau hia « PPN », ‘aita teie e ha’atute hia.
I tetahi ā mau taime, ē fa’a’ohipa ato’a nei te mau taiete nō rāpae i tā rātou iho mau ti’a, i teie ihoa ra vāhi e tātara hia nei i te mau ‘āfata ‘auri rarahi. Tā rātou ‘ohipa : te hi’ora’a ïa i te huru o te mau tao’a i tei mātara mai, te hi’ora’a ato’a mai te peu o te reira mau ānei ihoa te mau tao’a tei tītau hia, te nūmerara’a ‘e tei reira te fifi e ‘ite hia ai, nō te mea, mai tei peu mea ha’apa’o ihoa te mau rave ‘ohipa o nā taiete to’o toru nei, i tā rātou mau taupo’o pāruru ‘e te tī’ā ‘auri hia, ‘e ‘ere hō’ē ā i te huru nō te mau ti’a ‘ohipa o te mau taiete nō rāpae mai. Na teie huru tau’a ‘orera’a e riro i te ha’afifi i te ‘ohipa o na ti’a rave ‘ohipa e 400 o te uāhu.
Te mau fa’anahora’a pārurura’a e fa’ahepo hia i te rave
‘Ua tu’u hia i teie tumu parau i mua roa o te mau anira’a o te mau aupūpū. « I te mau mahana ato’a, te ‘ite noa ra mātou i te mau pere’o’o ‘e te mau ta’ata hururau nō rāpae mai o tē tomo noa mai mai i terā, mea ‘ōpani ‘eta’eta hia ho’i. ‘Aita ‘oe e ‘ite i teie huru fa’anahora’a i te mau pae fenua marite a ore ra i te fenua farāni. » i fa’ahiti mai i te reo o te hō’ē ti’a rave ‘ohipa nō te uāhu.
Te tūtava nei ra i tetahi mau fa’ahitira’a mana’o i te rūra’a ia fa’a’ohipa hia i te mau tāpura fa’anahora’a i te pae o te pārurura’a i te mau ti’a rave ‘ohipa. ma te fa’a’eta’eta fa’ahou atu ā i te mau hi’opo’ara’a. « Te ha’amana’o ra vau i te ūra’a atu i tetahi pereo’o īa tetahi pereo’o amora’a tauiha’a, i taua taime ra, te ui maere nei mātou ‘eāha ho’i tā teie ta’ata ‘ohipa i’ō nei ? » i ani mai ra i tetahi ti’a fa’a’ohipa i ni’a i te hīvi teitei. Ia au i te mau parau e fa’aro’o noa hia ra, ‘ua ‘ite a’e na hia i teie huru fifi, i teienei mahana, ‘aua’e māoti teie parau fa’aau i tārima hia, e rave hia i tetahi mau fa’anahora’a ha’avī. « te mea au roa atu, ‘eiāha teie mau pereo’o e fa’atomo fa’ahou hia ma te ‘ūputa rarahi, terā ra, e nehenehe īa rātou e tomo ma tetahi ‘ūputa ta’a ‘ē, i ha’amau hia ma te pae raro tō’o’a o te rā. ‘E ‘ere nō te pāto’i īa ratou i te haere mai, teie ra, ia nehenehe rātou e haere mai nā roto i te hō’ē arata’ira’a pāruru ‘e te nahonaho maita’i, ma te ‘ore ato’a rātou ia ha’afifi hia. »
Hō’ē ā hi’ora’a i te ‘o’o’a nō Pape’ete a’e ra ? « ‘Ua tāhuri a’e na tētahi ā mau ‘āfata ‘auri rarahi i roto i te miti. ‘Ā hani pa’ai, i te reira iho taime, te tere mai ra i tētahi va’a. Nō reira, mea tano ia tāmau hia i tetahi mau rēni tā’ōti’ara’a, i roto i te ārea taime tē tātara hia nei i te mau tauiha’a. » ‘Oia mau, tē teiā nei te mau rave ‘ohipa nō Motu Uta ‘ia tupu noa atu i teie huru ‘ati. ‘Aua’e ra, ‘ua fa’anaho i te parau fa’aau ‘ia tārena hia i te mau fārereira’a tuatāpapara’a ‘ohipa nō teie tumu parau. ‘Inaha, ‘ua ha’apāpū a’e na mai o Bruno Marty, te fa’atere hau nō te mau ‘ohipa rarahi, i te faufa’a ‘ia oti ‘oi’oi noa i teie mau ‘ōpuara’a nō te ‘ohipa pāruru.
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