Le Ministère de l’Éducation, de la Jeunesse et des Sports s’engage dès 2013 à mettre en place un dispositif en faveur de la réussite des enfants nommé: « Objectif Réussite Scolaire (ORS) ». Ce projet « Objectif Réussite Scolaire » doit permettre à l’institution « école » de jouer pleinement son rôle d’ascenseur social.
Cette politique de réussite éducative est basée sur le fait qu’il faut aussi chercher ailleurs que dans l’école les raisons de l’échec scolaire. Elle fait le lien entre l’école et son environnement, entre l’élève et l’enfant. Pour y parvenir, il faut prendre en compte l’environnement social, familial et culturel de l’enfant afin de favoriser la mise en place des meilleures conditions menant à la réussite de tous les parcours scolaires.
C’est donc une politique de terrain et de concertation où la rencontre de tous les acteurs qui participent à la réussite de l’école est primordiale. Elle demande une implication et une vigilance constante de la part de tous les acteurs : enseignants, parents d’élèves, associations, élus locaux et acteurs sociaux.
Le projet pilote prévoit pour septembre 2013, de travailler avec des classes de l’école primaire de Papetoai. Cependant, lors du séminaire sur la refondation de la politique éducative de l’école polynésienne avec l’ensemble des Inspecteurs de l’Education National (IEN) et les deux coordinateurs de la mission de coordination pédagogique du 2nd degré, qui s’est déroulé le 4 juillet dernier, trois autres circonscriptions ont sollicité le ministère afin de mettre également en place ce dispositif au sein de leurs établissements (plus précisément à Faa’a, Papara et Mama’o).
L’objectif premier du dispositif ORS est de répondre aux problématiques individuelles des enfants et de leurs parents, en mobilisant les compétences des acteurs éducatifs, sanitaires et sociaux. Le second objectif est de constituer un réseau d’éducateurs pour créer des synergies entre les actions et les dispositifs portés par chaque institution. Ainsi, chaque action nouvelle sera décidée par l’ensemble des partenaires et tiendra compte de l’existant, dans une logique de cohérence et de complémentarité.
Enfin, le ministère, dans le cadre du ORS comme au sein de chaque instance de concertation, s’appuiera sur la ressource principale de la réussite des enfants : les parents. Consultés, encouragés et valorisés, ils devront systématiquement être impliqués dans les projets proposés à leurs enfants. Cela est déterminant pour soutenir les jeunes, avant que les difficultés ne s’amplifient et que les situations ne deviennent complexes.
Ce projet doit permettre de formaliser et de renforcer l’engagement des différents acteurs. Les services déconcentrés du ministère de l’éducation, de la jeunesse et des sports seront mobilisés pour constituer des équipes d’appui visant à favoriser la mutualisation des bonnes pratiques et à aider à l’élaboration du projet en matière péri-éducative.
Grâce au dispositif ORS, les élèves ayant des besoins particuliers, nécessitant un accompagnement pédagogique spécifique, seront pris en charge, à raison de 2 heures par semaine, par les titulaires de classe pendant que les autres élèves participeront aux ateliers sportifs, culturels et artistiques encadrés par les animateurs d’associations. Pendant ces temps, l’école ouvrira ses portes aux parents qui seront les bienvenus.
Les enseignants titulaires ainsi que les animateurs auront à encourager la présence, voire la participation des parents lors des ateliers ORS car les missions majeures à soutenir sont la coéducation et l’émergence de l’estime de soi en chacun des jeunes confiés à des établissements scolaires et cela ne peut se faire sans l’adhésion des parents.
Par ailleurs, la mise en place de ce dispositif se fera de manière souple puisque différentes déclinaisons seront possibles afin de garantir la prise en compte des particularités, des contraintes et des solutions locales (transports scolaire, diversité des offres d’activités, etc).
Cette politique de réussite éducative est basée sur le fait qu’il faut aussi chercher ailleurs que dans l’école les raisons de l’échec scolaire. Elle fait le lien entre l’école et son environnement, entre l’élève et l’enfant. Pour y parvenir, il faut prendre en compte l’environnement social, familial et culturel de l’enfant afin de favoriser la mise en place des meilleures conditions menant à la réussite de tous les parcours scolaires.
C’est donc une politique de terrain et de concertation où la rencontre de tous les acteurs qui participent à la réussite de l’école est primordiale. Elle demande une implication et une vigilance constante de la part de tous les acteurs : enseignants, parents d’élèves, associations, élus locaux et acteurs sociaux.
Le projet pilote prévoit pour septembre 2013, de travailler avec des classes de l’école primaire de Papetoai. Cependant, lors du séminaire sur la refondation de la politique éducative de l’école polynésienne avec l’ensemble des Inspecteurs de l’Education National (IEN) et les deux coordinateurs de la mission de coordination pédagogique du 2nd degré, qui s’est déroulé le 4 juillet dernier, trois autres circonscriptions ont sollicité le ministère afin de mettre également en place ce dispositif au sein de leurs établissements (plus précisément à Faa’a, Papara et Mama’o).
L’objectif premier du dispositif ORS est de répondre aux problématiques individuelles des enfants et de leurs parents, en mobilisant les compétences des acteurs éducatifs, sanitaires et sociaux. Le second objectif est de constituer un réseau d’éducateurs pour créer des synergies entre les actions et les dispositifs portés par chaque institution. Ainsi, chaque action nouvelle sera décidée par l’ensemble des partenaires et tiendra compte de l’existant, dans une logique de cohérence et de complémentarité.
Enfin, le ministère, dans le cadre du ORS comme au sein de chaque instance de concertation, s’appuiera sur la ressource principale de la réussite des enfants : les parents. Consultés, encouragés et valorisés, ils devront systématiquement être impliqués dans les projets proposés à leurs enfants. Cela est déterminant pour soutenir les jeunes, avant que les difficultés ne s’amplifient et que les situations ne deviennent complexes.
Ce projet doit permettre de formaliser et de renforcer l’engagement des différents acteurs. Les services déconcentrés du ministère de l’éducation, de la jeunesse et des sports seront mobilisés pour constituer des équipes d’appui visant à favoriser la mutualisation des bonnes pratiques et à aider à l’élaboration du projet en matière péri-éducative.
Grâce au dispositif ORS, les élèves ayant des besoins particuliers, nécessitant un accompagnement pédagogique spécifique, seront pris en charge, à raison de 2 heures par semaine, par les titulaires de classe pendant que les autres élèves participeront aux ateliers sportifs, culturels et artistiques encadrés par les animateurs d’associations. Pendant ces temps, l’école ouvrira ses portes aux parents qui seront les bienvenus.
Les enseignants titulaires ainsi que les animateurs auront à encourager la présence, voire la participation des parents lors des ateliers ORS car les missions majeures à soutenir sont la coéducation et l’émergence de l’estime de soi en chacun des jeunes confiés à des établissements scolaires et cela ne peut se faire sans l’adhésion des parents.
Par ailleurs, la mise en place de ce dispositif se fera de manière souple puisque différentes déclinaisons seront possibles afin de garantir la prise en compte des particularités, des contraintes et des solutions locales (transports scolaire, diversité des offres d’activités, etc).
Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti