PAPE'ETE, le 18 août 2014 - Depuis le 1er août, le code de la route polynésien obligeait tous les automobilistes à s’équiper d’un kit de sécurité composé d’un gilet de haute visibilité et d’un triangle de pré-signalisation. En revanche, la gendarmerie nationale et la direction des transports terrestres s’accordent sur un point : il n’est pas obligatoire pour les deux roues.
Deux semaines après son entrée en vigueur, la loi sur le port du gilet reste encore mal comprise pour certains usagers de la route. L’article 316-16 du code la route impose effectivement aux automobilistes et autres poids lourds d’embarquer à leur bord un kit de sécurité. Celui-ci contient un triangle de pré-signalisation et le gilet de haute visibilité. Si du côté des conducteurs de voitures donc, le message est bien passé, les autres catégories d’usagers (deux roues mais également tricycles et quadricycles) ont encore des doutes quant à l’attitude à adopter.
Afin de dissiper toute mauvaise interprétation de la loi, André Putoa, responsable de la communication à la Direction des Transports Terrestres indique que : « l’article 316-16 relatif aux deux roues précise que « les dispositions I et II (conducteurs de voitures et poids lourds) ne s’appliquent pas aux conducteurs de véhicules à 2 ou 3 roues et quadricycles à moteurs non carrossés. » ». Même son de cloche chez les gendarmes. Toutefois, il est effectivement conseillé de porter des vêtements clairs et visibles.
Mais le gilet est obligatoire pour une autre catégorie d’ « usagers » de la route moins connue celle-là, les vendeurs occasionnels tels que les vendeurs de mapē (châtaigne tahitienne) ou encore les vendeurs à la criée (article 313-43).
TP
Deux semaines après son entrée en vigueur, la loi sur le port du gilet reste encore mal comprise pour certains usagers de la route. L’article 316-16 du code la route impose effectivement aux automobilistes et autres poids lourds d’embarquer à leur bord un kit de sécurité. Celui-ci contient un triangle de pré-signalisation et le gilet de haute visibilité. Si du côté des conducteurs de voitures donc, le message est bien passé, les autres catégories d’usagers (deux roues mais également tricycles et quadricycles) ont encore des doutes quant à l’attitude à adopter.
Afin de dissiper toute mauvaise interprétation de la loi, André Putoa, responsable de la communication à la Direction des Transports Terrestres indique que : « l’article 316-16 relatif aux deux roues précise que « les dispositions I et II (conducteurs de voitures et poids lourds) ne s’appliquent pas aux conducteurs de véhicules à 2 ou 3 roues et quadricycles à moteurs non carrossés. » ». Même son de cloche chez les gendarmes. Toutefois, il est effectivement conseillé de porter des vêtements clairs et visibles.
Mais le gilet est obligatoire pour une autre catégorie d’ « usagers » de la route moins connue celle-là, les vendeurs occasionnels tels que les vendeurs de mapē (châtaigne tahitienne) ou encore les vendeurs à la criée (article 313-43).
TP
Test salivaires aux abords des collèges et lycées.
A partir de la rentrée, les hommes en bleu procèderont à des contrôles réguliers aux abords des établissements scolaires, les collèges et lycées. " Nous allons effectuer des test salivaires sur les conducteurs de deux-roues car il y a un grand nombre de scolaires qui se rendent à l'école en scooters, voire motos. Cela rentre toujours dans le cadre de la prévention. (...) C'est une opération qui s'inscrit surtout dans une politique générale de lutte contre toutes les addictions. " clarifie le colonel Pierre Caudrelier, commandant en chef de la gendarmerie nationale en Polynésie française.
A partir de la rentrée, les hommes en bleu procèderont à des contrôles réguliers aux abords des établissements scolaires, les collèges et lycées. " Nous allons effectuer des test salivaires sur les conducteurs de deux-roues car il y a un grand nombre de scolaires qui se rendent à l'école en scooters, voire motos. Cela rentre toujours dans le cadre de la prévention. (...) C'est une opération qui s'inscrit surtout dans une politique générale de lutte contre toutes les addictions. " clarifie le colonel Pierre Caudrelier, commandant en chef de la gendarmerie nationale en Polynésie française.
Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti