PIRAE, le 2 août 2014. La fédération tahitienne de va’a a convié l’ensemble des personnes concernées pour une réunion de ‘briefing’ avant le départ de la délégation mardi matin à 2H pour les championnats du monde de va’a vitesse ayant lieu au Brésil du 12 au 17 août. Les championnats du monde se déroulent tous les deux ans. En 2012 la Polynésie n’avait pas pu participer en raison d’une grève d’une partie du personnel naviguant d’Air Tahiti Nui.
Cette réunion a pour but d’informer les athlètes sur les aspects pratiques du déplacement. Le grand absent de cette journée préparatoire est évidemment Tainui Vairaaroa, le capitaine de la sélection, tragiquement disparu il y a un mois lors d’un dramatique accident de la circulation.
Cette réunion a pour but d’informer les athlètes sur les aspects pratiques du déplacement. Le grand absent de cette journée préparatoire est évidemment Tainui Vairaaroa, le capitaine de la sélection, tragiquement disparu il y a un mois lors d’un dramatique accident de la circulation.
Utiutirei Florès fait partie de la délégation :
Comment s’est passée la préparation ?
« La dernière semaine d’entraînement a été dure, car au départ de la préparation on n’était pas vraiment prêtes. Ce n’est qu’à partir de jeudi que l’on a approché nos chronos. Aujourd’hui, en ‘Tauati’, on a amélioré nos chronos sur les trois séries que l’on a fait. Ca a l’air d’être bon, même si on ne sait pas ce qui peut se passer là bas. »
Comment te sens tu ?
« C’est mon premier championnat du monde. Cela met quand même la pression parce qu’on pas droit à l’erreur et vu que l’on était pas présents il y a deux ans, peut être que les autres nations se disent qu’on est ‘plus dans le coup’. On a la pression, on est obligées de gagner. » SB
Comment s’est passée la préparation ?
« La dernière semaine d’entraînement a été dure, car au départ de la préparation on n’était pas vraiment prêtes. Ce n’est qu’à partir de jeudi que l’on a approché nos chronos. Aujourd’hui, en ‘Tauati’, on a amélioré nos chronos sur les trois séries que l’on a fait. Ca a l’air d’être bon, même si on ne sait pas ce qui peut se passer là bas. »
Comment te sens tu ?
« C’est mon premier championnat du monde. Cela met quand même la pression parce qu’on pas droit à l’erreur et vu que l’on était pas présents il y a deux ans, peut être que les autres nations se disent qu’on est ‘plus dans le coup’. On a la pression, on est obligées de gagner. » SB
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