
Mangareva, le 21 août 2020 - La messe de début d’année du collège Saint-Raphaël de Rikitea qui s'est tenue mercredi à l'église Saint-Michel, en présence de monseigneur Cottanceau, a été placée sous le signe des gestes barrières.
Le collège Saint-Raphaël, seul établissement catholique du secondaire aux Gambier, a organisé mercredi matin sa messe de début d’année au sein de l'église Saint-Michel. Durant la semaine de rentrée, la question du maintien ou non de cette messe de début d’année s'était posée. Le directeur du collège, Ani Peterano, explique : "En tant que directeur d’un établissement catholique du secondaire, j’ai une mission religieuse envers mes élèves. Je me dois, comme tous les autres directeurs, de donner cet enseignement religieux. Au vu de la crise sanitaire, il a fallu s’adapter aux gestes barrières. L’équipe PNE (Personnel Non Enseignant) s’est placée à l’entrée de l’église pour désinfecter les mains des élèves, pour indiquer la distanciation sociale sur les bancs de l’église et aussi vérifier le port du masque obligatoire pour tous.
De plus, je voulais profiter de l’arrivée de Monseigneur Cottanceau, pour pouvoir offrir une messe aux élèves et non un office."
Monseigneur Cottanceau, qui était attendu en avril dernier aux Gambier a tenu à revenir durant cette semaine pour rassurer les fidèles : "Il faut garder confiance et puis il faut « jouer le jeu » de la solidarité avec tous ceux qui essayent de freiner l’expansion de cette pandémie (…) L’on arrive à des résultats catastrophiques parce que ce n’est pas quand l'épidémie est arrivée qu’il faut se battre. Il y a des mesures qui sont simples, il faut les respecter pour éviter des situations telles que le confinement. Si on ne veut pas de cela il faut aussi qu’on s’astreigne à ces mesures."
La messe s’est déroulée normalement avec cependant quelques ajustements des comportements dus à la crise sanitaire. Aucune prise de main durant la messe et un « signe de paix » a remplacé les embrassades. "J’ai donné les consignes dans les paroisses que je dirige. (…) Je souhaitais revenir dès que possible, pour voir les choses et relancer un peu les projets. Depuis mon arrivée je vois que les gens portent le masque, dans la navette et dans l’église. Si les gens n’ont pas de masque alors ils suivent la messe de dehors." a indiqué Monseigneur Cottanceau.
Le collège Saint-Raphaël, seul établissement catholique du secondaire aux Gambier, a organisé mercredi matin sa messe de début d’année au sein de l'église Saint-Michel. Durant la semaine de rentrée, la question du maintien ou non de cette messe de début d’année s'était posée. Le directeur du collège, Ani Peterano, explique : "En tant que directeur d’un établissement catholique du secondaire, j’ai une mission religieuse envers mes élèves. Je me dois, comme tous les autres directeurs, de donner cet enseignement religieux. Au vu de la crise sanitaire, il a fallu s’adapter aux gestes barrières. L’équipe PNE (Personnel Non Enseignant) s’est placée à l’entrée de l’église pour désinfecter les mains des élèves, pour indiquer la distanciation sociale sur les bancs de l’église et aussi vérifier le port du masque obligatoire pour tous.
De plus, je voulais profiter de l’arrivée de Monseigneur Cottanceau, pour pouvoir offrir une messe aux élèves et non un office."
Monseigneur Cottanceau, qui était attendu en avril dernier aux Gambier a tenu à revenir durant cette semaine pour rassurer les fidèles : "Il faut garder confiance et puis il faut « jouer le jeu » de la solidarité avec tous ceux qui essayent de freiner l’expansion de cette pandémie (…) L’on arrive à des résultats catastrophiques parce que ce n’est pas quand l'épidémie est arrivée qu’il faut se battre. Il y a des mesures qui sont simples, il faut les respecter pour éviter des situations telles que le confinement. Si on ne veut pas de cela il faut aussi qu’on s’astreigne à ces mesures."
La messe s’est déroulée normalement avec cependant quelques ajustements des comportements dus à la crise sanitaire. Aucune prise de main durant la messe et un « signe de paix » a remplacé les embrassades. "J’ai donné les consignes dans les paroisses que je dirige. (…) Je souhaitais revenir dès que possible, pour voir les choses et relancer un peu les projets. Depuis mon arrivée je vois que les gens portent le masque, dans la navette et dans l’église. Si les gens n’ont pas de masque alors ils suivent la messe de dehors." a indiqué Monseigneur Cottanceau.
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