L’Union des femmes francophones d’Océanie (Uffo), regroupant les organisations féministes de Nouvelle-Calédonie, de Polynésie française, du Vanuatu et de Wallis et Futuna, se réunit pour un atelier régional jusqu’au 17 juillet à la station Gump de l’Université de Berkeley à Moorea. La station Richard B. Gump de l’Université de Californie Berkeley, basée dans la baie de Cook accueille habituellement des scientifiques et des étudiants du monde entier pour mener des programmes de recherche. .
A l’issue de la première journée d’atelier, l’Union - prenant en considération les impacts du changement climatique sur la santé, la sécurité alimentaire, l’héritage culturel, les conditions de vie et de bien-être des populations océaniennes - interpelle les gouvernements, les institutions politiques, coutumières et religieuses, la société civile, les partenaires de développement national, régional et international, les bailleurs de fonds à reconnaitre, entre autres, les difficultés croissantes de nos communautés, de plus en plus vulnérables face à la montée des eaux et aux autres impacts liés au changement climatique affectant l’Océanie et à prendre toutes les mesures qui s’imposent pour prévenir et réduire leur vulnérabilité.
En Polynésie française, l’Uffo rassemble notamment Raymonde Raoulx, Rose Jonc, Eliane Tevahitua, Irmine Tehei, Armelle Merceron, Martine Temarohirani, membres du bureau. La réunion régionale à Moore est organisée avec le soutien logistique de l’association Atiti’a de Moorea présidée par Hinano Murphy.
A l’issue de la première journée d’atelier, l’Union - prenant en considération les impacts du changement climatique sur la santé, la sécurité alimentaire, l’héritage culturel, les conditions de vie et de bien-être des populations océaniennes - interpelle les gouvernements, les institutions politiques, coutumières et religieuses, la société civile, les partenaires de développement national, régional et international, les bailleurs de fonds à reconnaitre, entre autres, les difficultés croissantes de nos communautés, de plus en plus vulnérables face à la montée des eaux et aux autres impacts liés au changement climatique affectant l’Océanie et à prendre toutes les mesures qui s’imposent pour prévenir et réduire leur vulnérabilité.
En Polynésie française, l’Uffo rassemble notamment Raymonde Raoulx, Rose Jonc, Eliane Tevahitua, Irmine Tehei, Armelle Merceron, Martine Temarohirani, membres du bureau. La réunion régionale à Moore est organisée avec le soutien logistique de l’association Atiti’a de Moorea présidée par Hinano Murphy.
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