PAPEETE, 17 juin 2014 - Le Port Autonome a décidé de quadrupler la tarification des emplacements sur le plan d’eau de Taapuna pour les embarcations utilisant un corps-mort "à des fins commerciales". L’activité des "fare" flottants pourrait reprendre fin juin, après la définition d’une réglementation les concernant.
La délibération a été adoptée par le Port autonome, lors d’un conseil d’administration le 13 mai dernier, et publiée au journal officiel le 13 juin. Les locataires de corps-morts sont dorénavant rangés en deux catégories : les plaisanciers et les commerçants. Pour les uns la redevance mensuelle reste inchangée ; pour les autres – principalement les propriétaires de "fare" flottants – elle passe de 15.000 Fcfp à 40.000 Fcfp devant la piste de Tahiti-Faa’a voire 60.000 Fcfp sur le banc de sable de Taapuna.
Cette nouvelle tarification intervient alors qu’un arrêté pris jeudi 12 juin interdit toute activité commerciale aux propriétaires de pirogue de loisir, à la suite de "plusieurs incidents et accidents" survenus lors d’événements festifs à bord de ces embarcations.
Quatre zones ont été distinguées, sur le plan d’eau des lagons de Faa’a et de Punaauia, géré par le Port Autonome de Papeete. Les deux plus prisées par les propriétaires de "fare" flottant font l’objet d’une nette réévaluation pour les embarcations utilisant un corps-mort "à des fins commerciales".
Pour l’instant, les propriétaires de 12 pirogues de loisir sont interdits d’activité commerciale depuis jeudi 12 juin. Ils doivent rencontrer ce mercredi à 15 heures, dans les locaux de la Direction polynésienne des affaires maritimes, les services du Pays pour travailler à l’élaboration d’une réglementation claire : "l’objectif est que l’activité reprenne en toute sécurité", commente Heifara Garbet, directeur de cabinet au ministère de l’Equipement. "Nous avons bon espoir de parvenir à une solution d’ici la fin du mois (…) : un cahier des charges est en cours de rédaction concernant les questions de sécurité à bord, de respect de l’environnement, de cogestion des sites : notre soucis est de mettre un terme à ce laisser-faire qui a abouti aux dérapages des dernières semaines".
La délibération a été adoptée par le Port autonome, lors d’un conseil d’administration le 13 mai dernier, et publiée au journal officiel le 13 juin. Les locataires de corps-morts sont dorénavant rangés en deux catégories : les plaisanciers et les commerçants. Pour les uns la redevance mensuelle reste inchangée ; pour les autres – principalement les propriétaires de "fare" flottants – elle passe de 15.000 Fcfp à 40.000 Fcfp devant la piste de Tahiti-Faa’a voire 60.000 Fcfp sur le banc de sable de Taapuna.
Cette nouvelle tarification intervient alors qu’un arrêté pris jeudi 12 juin interdit toute activité commerciale aux propriétaires de pirogue de loisir, à la suite de "plusieurs incidents et accidents" survenus lors d’événements festifs à bord de ces embarcations.
Quatre zones ont été distinguées, sur le plan d’eau des lagons de Faa’a et de Punaauia, géré par le Port Autonome de Papeete. Les deux plus prisées par les propriétaires de "fare" flottant font l’objet d’une nette réévaluation pour les embarcations utilisant un corps-mort "à des fins commerciales".
Pour l’instant, les propriétaires de 12 pirogues de loisir sont interdits d’activité commerciale depuis jeudi 12 juin. Ils doivent rencontrer ce mercredi à 15 heures, dans les locaux de la Direction polynésienne des affaires maritimes, les services du Pays pour travailler à l’élaboration d’une réglementation claire : "l’objectif est que l’activité reprenne en toute sécurité", commente Heifara Garbet, directeur de cabinet au ministère de l’Equipement. "Nous avons bon espoir de parvenir à une solution d’ici la fin du mois (…) : un cahier des charges est en cours de rédaction concernant les questions de sécurité à bord, de respect de l’environnement, de cogestion des sites : notre soucis est de mettre un terme à ce laisser-faire qui a abouti aux dérapages des dernières semaines".
Tahiti-Infos, le site N°1 de l'information à Tahiti