PIRAE, le 13 juin 2014. C’est dans le restaurant de l’IJSPF et dans un esprit de convivialité que les diplômés se sont retrouvés ce vendredi matin pour une collation, en présence de Maé Lhopital chef du département formation de l’IJSPF, Kenji Calmes chef du bureau formation et Christian Pacaud le nouveau directeur de l’IJSPF. L’institut de la jeunesse et des sports a proposé une formation au Brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport, spécialité ‘activité gymnique, de la forme et de la force.’ (BP JEPS AGFF)
Le Ministre des Sports était absent mais Danièle Guyonnet, le chef de service de l’Ijspf, a pu féliciter les postulants en son nom. Les nouveaux diplômés ont eu droit à un ‘réveil musculaire’ après la petite collation. Le diplôme définitif est soumis à un arrêté, il sera donc remis ultérieurement, une attestation a pu être remise. Le budget de cette formation est de 19 millions fcp mais elle a permis ‘une vraie insertion professionnelle’ selon Maé Lhopital.
Au total 79 candidats ont postulé pour tenter d’obtenir le brevet d’état mention fitness, mention musculation ou les deux à la fois. 23 candidats ont finalement obtenu leur diplôme, 9 en fitness, 6 en musculation et 8 ont obtenu les deux mentions à la fois. Dans ce domaine l’équilibre fille-garçon semble être de mise, puisque 13 garçons et 10 filles ont eu leur diplôme.
La formation est accessible mais pas non plus trop facile. 12 membres du jury et une dizaine d’experts ont été mis à contribution. Ceux qui ont échoué ont la possibilité d’obtenir leurs ‘unités de valeur’ dans les mois qui viennent. 14 candidats étaient des demandeurs d’emploi issus du Séfi, ces formations étant destinées à stimuler l’emploi local. Cette formation a également été mise en place afin de régulariser la situation de certaines personnes exerçant déjà une activité professionnelle, sans pour autant être diplômée, contrairement à ce qui est prévu par la législation.
Cette formation a duré 10 mois mais elle représente ‘un an et demi de travail’ selon Maé Lhopital. Elle a permis aux candidats d’obtenir une formation de professeur de fitness et de ‘coach’ en musculation. Elle a été organisée en réponse à la demande des gérants de salles de remise en forme, de plus en plus nombreux à Tahiti. Ces derniers ont mis d’ailleurs leurs salles et leurs équipements à la disposition de ces formations.
En parallèle du chômage sévissant en Polynésie Française, on observe actuellement un engouement pour ce secteur de la remise en forme. Christian Wang Sang par exemple, que Tahiti Infos avait pu interviewer lors d’un ‘Fitcamp’ organisé à la Mairie de Pirae, a obtenu le brevet dans les deux mentions, ‘muscu’ et fitness’.
Le Ministre des Sports était absent mais Danièle Guyonnet, le chef de service de l’Ijspf, a pu féliciter les postulants en son nom. Les nouveaux diplômés ont eu droit à un ‘réveil musculaire’ après la petite collation. Le diplôme définitif est soumis à un arrêté, il sera donc remis ultérieurement, une attestation a pu être remise. Le budget de cette formation est de 19 millions fcp mais elle a permis ‘une vraie insertion professionnelle’ selon Maé Lhopital.
Au total 79 candidats ont postulé pour tenter d’obtenir le brevet d’état mention fitness, mention musculation ou les deux à la fois. 23 candidats ont finalement obtenu leur diplôme, 9 en fitness, 6 en musculation et 8 ont obtenu les deux mentions à la fois. Dans ce domaine l’équilibre fille-garçon semble être de mise, puisque 13 garçons et 10 filles ont eu leur diplôme.
La formation est accessible mais pas non plus trop facile. 12 membres du jury et une dizaine d’experts ont été mis à contribution. Ceux qui ont échoué ont la possibilité d’obtenir leurs ‘unités de valeur’ dans les mois qui viennent. 14 candidats étaient des demandeurs d’emploi issus du Séfi, ces formations étant destinées à stimuler l’emploi local. Cette formation a également été mise en place afin de régulariser la situation de certaines personnes exerçant déjà une activité professionnelle, sans pour autant être diplômée, contrairement à ce qui est prévu par la législation.
Cette formation a duré 10 mois mais elle représente ‘un an et demi de travail’ selon Maé Lhopital. Elle a permis aux candidats d’obtenir une formation de professeur de fitness et de ‘coach’ en musculation. Elle a été organisée en réponse à la demande des gérants de salles de remise en forme, de plus en plus nombreux à Tahiti. Ces derniers ont mis d’ailleurs leurs salles et leurs équipements à la disposition de ces formations.
En parallèle du chômage sévissant en Polynésie Française, on observe actuellement un engouement pour ce secteur de la remise en forme. Christian Wang Sang par exemple, que Tahiti Infos avait pu interviewer lors d’un ‘Fitcamp’ organisé à la Mairie de Pirae, a obtenu le brevet dans les deux mentions, ‘muscu’ et fitness’.
Kenjy Calmes, chef du bureau formation de l’IJSPF a participé également au ‘réveil musculaire’ :
Quel était l’objet de cette formation ?
« La formation a débuté le 19 août 2013, elle a permis à 23 personnes d’accéder à un diplôme d’état afin d’encadrer ces activités de fitness et musculation. C’est un diplôme professionnel qui permet donc à ces gens de travailler dans toutes les salles et de développer tout ce qui est ‘coaching’ personnalisé, de travailler en extérieur, c’est très ‘tendance’ en ce moment. Certaines salles sont gérées par des gens qui n’ont pas de diplôme. »
Cela répondait à une attente ?
« Oui, cela répondait à une attente et surtout à la volonté de structuration et de développement du secteur d’activité de la remise en forme. On voit de plus en plus de salles qui arrivent sur le marché. Aujourd’hui on a 100 % d’insertion professionnelle pour les gens que l’on a formés, c’est ce qu’il faudra retenir de cette formation. »
Il y a une particularité polynésienne au niveau du fitness ?
« Non justement, l’idée c’était de permettre à certains Polynésiens d’accéder à ces métiers donc je pense que l’objectif est atteint au vu de la physionomie de la promo. Des gens d’ici qui ont d’abord été adhérents dans les salles et qui ont développé des qualités pour devenir prof de fitness ou de musculation. »
La formation est une des missions de l’Ijspf et sa nouvelle direction ?
« Oui, l’Ijspf a pour mission la mise en œuvre de formations dans le domaine du sport et de la jeunesse et cette opportunité, c’est le service de la jeunesse et des sports qui a procédé à sa mise en oeuvre. Nous avons Christian Pacaud qui est pour l’instant le nouveau directeur par intérim, cela se passe très bien. » SB
Quel était l’objet de cette formation ?
« La formation a débuté le 19 août 2013, elle a permis à 23 personnes d’accéder à un diplôme d’état afin d’encadrer ces activités de fitness et musculation. C’est un diplôme professionnel qui permet donc à ces gens de travailler dans toutes les salles et de développer tout ce qui est ‘coaching’ personnalisé, de travailler en extérieur, c’est très ‘tendance’ en ce moment. Certaines salles sont gérées par des gens qui n’ont pas de diplôme. »
Cela répondait à une attente ?
« Oui, cela répondait à une attente et surtout à la volonté de structuration et de développement du secteur d’activité de la remise en forme. On voit de plus en plus de salles qui arrivent sur le marché. Aujourd’hui on a 100 % d’insertion professionnelle pour les gens que l’on a formés, c’est ce qu’il faudra retenir de cette formation. »
Il y a une particularité polynésienne au niveau du fitness ?
« Non justement, l’idée c’était de permettre à certains Polynésiens d’accéder à ces métiers donc je pense que l’objectif est atteint au vu de la physionomie de la promo. Des gens d’ici qui ont d’abord été adhérents dans les salles et qui ont développé des qualités pour devenir prof de fitness ou de musculation. »
La formation est une des missions de l’Ijspf et sa nouvelle direction ?
« Oui, l’Ijspf a pour mission la mise en œuvre de formations dans le domaine du sport et de la jeunesse et cette opportunité, c’est le service de la jeunesse et des sports qui a procédé à sa mise en oeuvre. Nous avons Christian Pacaud qui est pour l’instant le nouveau directeur par intérim, cela se passe très bien. » SB
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