PAPEETE, le 12 juin 2014 ( COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE) Lors du conseil des ministres du mercredi 11 juin 2014 le gouvernement a décidé de mettre fin à l’affectation temporaire au bénéfice de l’association Moruroa e tatou de la parcelle de terre située sur la place Jacques Chirac. Par cette décision le gouvernement souhaite réaffecter l’intégralité de cet espace à sa destination première, c’est-à-dire la promenade et l’accueil des touristes. Dans le cadre de la réhabilitation du front de mer de Papeete, ces espaces vont faire l’objet d’embellissement afin d’intégrer en pleine cohérence les aménagements touristiques en cours et à venir dans la rade de Papeete.
A ceux qui s’étonnent ou s’offusquent de cette décision, il est utile de rappeler que la place dite du 2 juillet était antérieurement appelée la place Jacques Chirac et que le gouvernement ne fait que rendre à cet espace son appellation et sa vocation d’origine détournées sans ménagement aucun par une décision du gouvernement d’Oscar TEMARU.
En outre, cette décision ne traduit aucune inflexion de la position du gouvernement sur la question de l’indemnisation des victimes des essais nucléaires. Dès son retour au pouvoir, la majorité a pris à bras le corps ce dossier, et le Président Gaston FLOSSE, tout comme nos trois parlementaires, dont Edouard FRITCH, se sont engagés pour que soit révisée la loi Morin et que soient réellement prises en compte les victimes des essais nucléaires en Polynésie française.
A ceux qui s’étonnent ou s’offusquent de cette décision, il est utile de rappeler que la place dite du 2 juillet était antérieurement appelée la place Jacques Chirac et que le gouvernement ne fait que rendre à cet espace son appellation et sa vocation d’origine détournées sans ménagement aucun par une décision du gouvernement d’Oscar TEMARU.
En outre, cette décision ne traduit aucune inflexion de la position du gouvernement sur la question de l’indemnisation des victimes des essais nucléaires. Dès son retour au pouvoir, la majorité a pris à bras le corps ce dossier, et le Président Gaston FLOSSE, tout comme nos trois parlementaires, dont Edouard FRITCH, se sont engagés pour que soit révisée la loi Morin et que soient réellement prises en compte les victimes des essais nucléaires en Polynésie française.
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