PAPEETE, le 3 juin 2014 – Le virus du Chikungunia a fait son apparition en Polynésie française mercredi dernier avec un premier cas officiellement déclaré. Une annonce en coup de canon qui a conduit à une forte mobilisation des pouvoirs publics pour reprendre les programmes de démoustication restés inachevés fin mars, mais en se concentrant cette fois sur les zones à risque, en particulier l'aéroport de Tahiti-Faa'a qui sera le passage obligé de tout nouveau malade.
Vendredi dernier l’aéroport de Tahiti avait donc droit à un dégitage en profondeur et un nouveau traitement insecticide. Un communiqué du ministère de la Santé assure que « ces mesures s’ajoutent aux traitements insecticides régulièrement effectués par un prestataire dans la zone aéroportuaire ainsi qu’aux actions de gestion des gîtes à moustiques mises en œuvre par le personnel chargé de l’entretien. » Ces lundi et mardi, c’étaient les zones fréquentées par la seule victime polynésienne connue de cette « maladie qui brise les os », comme elle est surnommée à la Réunion, qui ont été traitées. Heureusement que la malade a eu le réflexe de consulter rapidement son médecin, permettant de tuer les moustiques potentiellement porteurs du virus avant qu'ils ne deviennent contagieux (3 à 4 jours après avoir piqué un malade).
Pour inciter les voyageurs revenant de zones à risque à autant de prudence, des brochures décrivant les symptômes et incitant les malades potentiels à consulter au plus vite seront bientôt distribuées à tous les passagers. Pour rappel, ces symptômes, proches de ceux de la dengue, sont « une fièvre élevée, des douleurs très fortes dans les articulations, principalement aux extrémités, associées à une raideur et à des douleurs musculaires. »
Vendredi dernier l’aéroport de Tahiti avait donc droit à un dégitage en profondeur et un nouveau traitement insecticide. Un communiqué du ministère de la Santé assure que « ces mesures s’ajoutent aux traitements insecticides régulièrement effectués par un prestataire dans la zone aéroportuaire ainsi qu’aux actions de gestion des gîtes à moustiques mises en œuvre par le personnel chargé de l’entretien. » Ces lundi et mardi, c’étaient les zones fréquentées par la seule victime polynésienne connue de cette « maladie qui brise les os », comme elle est surnommée à la Réunion, qui ont été traitées. Heureusement que la malade a eu le réflexe de consulter rapidement son médecin, permettant de tuer les moustiques potentiellement porteurs du virus avant qu'ils ne deviennent contagieux (3 à 4 jours après avoir piqué un malade).
Pour inciter les voyageurs revenant de zones à risque à autant de prudence, des brochures décrivant les symptômes et incitant les malades potentiels à consulter au plus vite seront bientôt distribuées à tous les passagers. Pour rappel, ces symptômes, proches de ceux de la dengue, sont « une fièvre élevée, des douleurs très fortes dans les articulations, principalement aux extrémités, associées à une raideur et à des douleurs musculaires. »
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