PAPEETE, le 02 mai 2014 - Le groupe marquisien Takanini se produira à Tahiti samedi 3 et samedi 10 mai. En plus des titres qui ont fait la renommée du groupe, des nouvelles compositions seront présentés en avant-première.
Depuis 2011, année de la création de la troupe, les « Takanini » (traduit par : vertige ou étourdissement), n’ont cessé d’enchaîner des titres classés au hit parade local, tels que l’incontournable « Kāmave » (bienvenue !). Il y a eu également « E tau hou » (nouvelle ère) et « Tama kerara » (enfants marquisiens). Autant de morceaux traitant des problèmes rencontrés par la jeunesse marquisienne, mais heureusement aussi de sa force et ses perspectives.
Le groupe à la popularité grandissante interprétera ses succès sur scène tout d’abord ce samedi 3 mai au grand théâtre de la Maison de la Culture , à partir de 19h00 puis le samedi 10 mai au Royal Tahitien. Après les anciens tubes, place sera faite à de nouveaux titres dont « Mamae nei au » qui signifie souffrir. Selon Casimir Hikutini l’un des artistes musiciens-danseurs du groupe « Il est question de l’état d’esprit de beaucoup de gens aujourd’hui. La chanson dénonce notre attitude et nos comportements. En fait, nous creusons nous-mêmes notre propre tombe. ». Le style ne changera pas, le Reggae tribal poursuivra son ascension sur scène avec 9 musiciens et choristes dont l’artiste pop Moea Lechat. Une nouveauté, Poeiti sera aussi accompagné des musiciens du groupe Tahiti Roots. Cette connexion entre artistes du henua Enana et de Tahiti promet d’offrir un son de qualité, tout en gardant l’esprit guerrier des îles marquises. Kaòha nui.
TP
Depuis 2011, année de la création de la troupe, les « Takanini » (traduit par : vertige ou étourdissement), n’ont cessé d’enchaîner des titres classés au hit parade local, tels que l’incontournable « Kāmave » (bienvenue !). Il y a eu également « E tau hou » (nouvelle ère) et « Tama kerara » (enfants marquisiens). Autant de morceaux traitant des problèmes rencontrés par la jeunesse marquisienne, mais heureusement aussi de sa force et ses perspectives.
Le groupe à la popularité grandissante interprétera ses succès sur scène tout d’abord ce samedi 3 mai au grand théâtre de la Maison de la Culture , à partir de 19h00 puis le samedi 10 mai au Royal Tahitien. Après les anciens tubes, place sera faite à de nouveaux titres dont « Mamae nei au » qui signifie souffrir. Selon Casimir Hikutini l’un des artistes musiciens-danseurs du groupe « Il est question de l’état d’esprit de beaucoup de gens aujourd’hui. La chanson dénonce notre attitude et nos comportements. En fait, nous creusons nous-mêmes notre propre tombe. ». Le style ne changera pas, le Reggae tribal poursuivra son ascension sur scène avec 9 musiciens et choristes dont l’artiste pop Moea Lechat. Une nouveauté, Poeiti sera aussi accompagné des musiciens du groupe Tahiti Roots. Cette connexion entre artistes du henua Enana et de Tahiti promet d’offrir un son de qualité, tout en gardant l’esprit guerrier des îles marquises. Kaòha nui.
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