SUVA, mercredi 7 août 2013 – Chandu Umaria, ancien maire et désormais administrateur spécial de la capitale fidjienne Suva, a annoncé mardi la prochaine installation dans sa municipalité d’une petite centaine de nouvelles caméras de surveillance, dans le but affiché de faire de la capitale une ville "100 pour 100 sûre".
Cette annonce est intervenue à l’occasion de la signature d’un accord entre la municipalité de Suva et les forces de police, dans le cadre d’un projet impliquant aussi les partenaires socio-économiques.
Coût de l’opération : 50.000 dollars locaux (un peu moins de 20.000 euros). Les caméras devraient être installées d’ici à la fin août 2013 à des endroits qualifiés de "stratégiques" de la capitale. "Nous avons déjà identifié 98 emplacements dans la ville où nous souhaitons placer des caméras, dans le centre-ville, aux alentours du marché, sur le front de mer, là où déjà il y a beaucoup de vandalisme (…) La police a des ressources, mas elles sont limitées et il est donc du devoir de chacun d’entre nous, individuellement, d’aider les forces de l’ordre", a-t-il expliqué lors d’une conférence de presse.
Début juin 2013, à Lautoka (ville proche de Nadi), le conseil municipal a aussi signé un accord de partenariat avec la police locale, avec à la clé l’installation de caméras de surveillance. "Il ne s’agit ni d’espionner les gens ni d’envahir leur vie privée, il s’agit de faire en sorte que les citoyens puissent se déplacer en toute sécurité, en particulier les femmes et les enfants (…) Ces caméras, c’est un investissement dans la sécurité de nos concitoyens, des touristes et des entreprises", a insisté le Général de brigade Ioane Naivalurua, chef de la police nationale.
Pour Lautoka, l’expérience concernera, dans un premier temps, cinq caméras qui seront placées au marché, dans la rue principale, à la station d’autobus et sur le front de mer. Les images seront centralisées au commissariat central de police et conserveront jusqu’à six mois d’images en archives.
Cette annonce est intervenue à l’occasion de la signature d’un accord entre la municipalité de Suva et les forces de police, dans le cadre d’un projet impliquant aussi les partenaires socio-économiques.
Coût de l’opération : 50.000 dollars locaux (un peu moins de 20.000 euros). Les caméras devraient être installées d’ici à la fin août 2013 à des endroits qualifiés de "stratégiques" de la capitale. "Nous avons déjà identifié 98 emplacements dans la ville où nous souhaitons placer des caméras, dans le centre-ville, aux alentours du marché, sur le front de mer, là où déjà il y a beaucoup de vandalisme (…) La police a des ressources, mas elles sont limitées et il est donc du devoir de chacun d’entre nous, individuellement, d’aider les forces de l’ordre", a-t-il expliqué lors d’une conférence de presse.
Début juin 2013, à Lautoka (ville proche de Nadi), le conseil municipal a aussi signé un accord de partenariat avec la police locale, avec à la clé l’installation de caméras de surveillance. "Il ne s’agit ni d’espionner les gens ni d’envahir leur vie privée, il s’agit de faire en sorte que les citoyens puissent se déplacer en toute sécurité, en particulier les femmes et les enfants (…) Ces caméras, c’est un investissement dans la sécurité de nos concitoyens, des touristes et des entreprises", a insisté le Général de brigade Ioane Naivalurua, chef de la police nationale.
Pour Lautoka, l’expérience concernera, dans un premier temps, cinq caméras qui seront placées au marché, dans la rue principale, à la station d’autobus et sur le front de mer. Les images seront centralisées au commissariat central de police et conserveront jusqu’à six mois d’images en archives.
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