La réunion qui s’était tenue au ministère de l’équipement n’aura finalement pas eu l’effet escompté. L’un après l’autre, le directeur du port Mario Banner accompagnés des responsables des 3 sociétés d’acconage concernées par le conflit, puis les syndicats, ont claqué la porte des négociations. Patrick Galenon estime « ne pas avoir été respecté » dans leur droit le plus strict.
Interviewé lundi, le ministre de l’équipement Bruno Marty, avait pourtant espéré faire évoluer la situation de crise qui frappe toute la zone portuaire de Motu uta depuis quelques jours déjà. La réunion qui s’est tenue cet après-midi, à 13h30 avait « pourtant bien commencé » selon les syndicats. Seulement, la situation s’est très vite tendue.
Patrick Galenon, le secrétaire général de la CSTP-FO, accompagné de Mahinui Temarii, secrétaire général du Syndicat des Travail de Manutention du port, et de quelques représentants des aconiers et de la police portuaire, ont quitté la table des discussions pour ne plus y revenir. Selon eux, le ministre ainsi que la direction du port leur a manqué de respect. Certains auraient même fait allusion des insultes proférées à leur encontre.
Le ministre de l’équipement, Bruno Marty, n’a pas souhaité faire de commentaire. Il réfute cependant les propos tenus par certains. « Qui a quitté la table des discussions ? Ce n’est pas nous il me semble ! » a-t-il lancé avec un certain agacement lié à la tournure des événements. En effet, si, comme le disent les syndicalistes « le port est calme et sans problèmes », il n’en demeure pas moins que rien ne sort de la zone et que cela veut aussi dire que bon nombre de commerces seront à court d’approvisionnement.
Cependant, « rien n’est perdu ! » s’est exclamé un des accompagnateurs de Mahinui Temarii. Effectivement, les syndicalistes ont déclaré qu'une rencontre était prévue ce mercredi matin à 8h00 au port de Motu Uta, mais le ministre a démenti l'information en fin d'après-midi. Afin d’éviter toute polémique, personne n’a voulu pronostiquer sur la suite du conflit. « La nuit porte conseil ! » a déclaré Patrick Galenon qui voudrait, lui aussi, que cette grève cesse et que tous reprennent le travail. Un souhait partagé par les entreprises d’aconages. Quoi qu’il en soit, une solution devra être trouvé avant l’arrivée d’un porte container ce vendredi.
TP
Interviewé lundi, le ministre de l’équipement Bruno Marty, avait pourtant espéré faire évoluer la situation de crise qui frappe toute la zone portuaire de Motu uta depuis quelques jours déjà. La réunion qui s’est tenue cet après-midi, à 13h30 avait « pourtant bien commencé » selon les syndicats. Seulement, la situation s’est très vite tendue.
Patrick Galenon, le secrétaire général de la CSTP-FO, accompagné de Mahinui Temarii, secrétaire général du Syndicat des Travail de Manutention du port, et de quelques représentants des aconiers et de la police portuaire, ont quitté la table des discussions pour ne plus y revenir. Selon eux, le ministre ainsi que la direction du port leur a manqué de respect. Certains auraient même fait allusion des insultes proférées à leur encontre.
Le ministre de l’équipement, Bruno Marty, n’a pas souhaité faire de commentaire. Il réfute cependant les propos tenus par certains. « Qui a quitté la table des discussions ? Ce n’est pas nous il me semble ! » a-t-il lancé avec un certain agacement lié à la tournure des événements. En effet, si, comme le disent les syndicalistes « le port est calme et sans problèmes », il n’en demeure pas moins que rien ne sort de la zone et que cela veut aussi dire que bon nombre de commerces seront à court d’approvisionnement.
Cependant, « rien n’est perdu ! » s’est exclamé un des accompagnateurs de Mahinui Temarii. Effectivement, les syndicalistes ont déclaré qu'une rencontre était prévue ce mercredi matin à 8h00 au port de Motu Uta, mais le ministre a démenti l'information en fin d'après-midi. Afin d’éviter toute polémique, personne n’a voulu pronostiquer sur la suite du conflit. « La nuit porte conseil ! » a déclaré Patrick Galenon qui voudrait, lui aussi, que cette grève cesse et que tous reprennent le travail. Un souhait partagé par les entreprises d’aconages. Quoi qu’il en soit, une solution devra être trouvé avant l’arrivée d’un porte container ce vendredi.
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