PAPEETE, le 17 avril 2014- A peine descendu de l’avion qui le ramenait de Los Angeles où il prépare une tournée de galas, Gabilou est venu rendre visite à la rédaction de Tahiti Infos. Le 3 mai, il sera en concert à Taravao avec Teiva L.C.
Lancé en 1981 par une troisième place au concours de l’Eurovision, Gabilou avait fait ses classes en première partie des plus grands chanteurs de l’époque. Clo-clo, Sacha Distel, Nana Mouskouri, Enrico Macias, Hugues Auffray, Charles Aznavour… Il a côtoyé les stars, citant entre autre Johnny Halliday, et le regretté Carlos. Aujourd’hui ses concerts attirent toujours les foules et alors qu’il prépare une tournée de gala aux Etats-unis, le chanteur partagera la scène le 3 mai à Taravao avec les grands noms de la musique polynésienne actuelle.
Gabilou, qui avait fait salle comble lors d’un concert exceptionnel au grand théâtre de Papeete en février dernier, entouré de Nohoarii, Sabrina, Patrick Noble, Andy Tupaia, Yvon Arai et bien entendu des danseuses et danseurs de l’école de danse de sa femme Moeata, s’apprête à renouveler l’opération, mais à Taravao, cette fois. «Ce sera un concert unique, dans la salle de l’école de danse de Moeata, et nous partagerons la scène avec Teiva LC, également» explique Gabilou qui retrouve chez le jeune chanteur quelques similitudes avec lui. «Il a une voix, il s’implique beaucoup dans son interprétation, Teiva a vraiment tout pour faire une belle carrière, il s’est fait remarquer pour The Voice » continue-t-il. Mais il s’interroge sur la volonté du jeune talent. « Il a son restaurant, il est bien, je ne sais pas si il fera ce que j’ai fait, aller chercher des galas, des concerts, organiser des tournées… c’est beaucoup de travail !»
Lorsqu’on l’interroge sur le plus beau moment de sa carrière, Gabilou évoque L’Eurovision : « C’était en 1981, à Dublin. Le concert avait fait 600 000 téléspectateurs, autant que le nombre de spectateurs que réunissait Elvis Presley pour une tournée » commente-t-il. « A l’époque, cette comparaison m’avait impressionné, et c’est vrai que ça a lancé ma carrière. Mais j’étais malade, j’avais attrapé une angine, un coup de froid, j’aurais pu gagner, je pense, si j’avais eu toute ma voix » estime-t-il.
Son plus grand regret, n’avoir pas trouvé le bon manager. « Il fallait que je fasse tout, trouver les contrats, organiser les tournées, les galas ». Pour Gabilou cette contrainte l’a freiné un peu dans l’évolution de sa carrière.
Ses conseils à la jeune génération : composer et se produire sur scène, le plus possible. « Les CD, c’est fini, avec les nouveaux médias…Il faut que les jeunes se produisent un maximum, galas, concerts, anniversaires, soirées privées …et puis composer, écrire de nouvelles chansons. » conseille le chanteur. « Je pense que les chanteurs ne devraient pas accepter d’animer des bringues gratuitement, il faudrait demander une petite participation aux gens dès qu’on se produit, même lors d’une bringue… »
Ses projets d’avenir concernent surtout la scène américaine. « Localement, je veux me produire essentiellement à Taravao, à la maison » précise-t-il affectueusement, faisant référence à l’école de danse de son épouse Moeata. « Pour ce qui est de Toa’ta, Papeete, je ferais un grand gala, le 8 août, qui s’appellera « the last one ».
Lancé en 1981 par une troisième place au concours de l’Eurovision, Gabilou avait fait ses classes en première partie des plus grands chanteurs de l’époque. Clo-clo, Sacha Distel, Nana Mouskouri, Enrico Macias, Hugues Auffray, Charles Aznavour… Il a côtoyé les stars, citant entre autre Johnny Halliday, et le regretté Carlos. Aujourd’hui ses concerts attirent toujours les foules et alors qu’il prépare une tournée de gala aux Etats-unis, le chanteur partagera la scène le 3 mai à Taravao avec les grands noms de la musique polynésienne actuelle.
Gabilou, qui avait fait salle comble lors d’un concert exceptionnel au grand théâtre de Papeete en février dernier, entouré de Nohoarii, Sabrina, Patrick Noble, Andy Tupaia, Yvon Arai et bien entendu des danseuses et danseurs de l’école de danse de sa femme Moeata, s’apprête à renouveler l’opération, mais à Taravao, cette fois. «Ce sera un concert unique, dans la salle de l’école de danse de Moeata, et nous partagerons la scène avec Teiva LC, également» explique Gabilou qui retrouve chez le jeune chanteur quelques similitudes avec lui. «Il a une voix, il s’implique beaucoup dans son interprétation, Teiva a vraiment tout pour faire une belle carrière, il s’est fait remarquer pour The Voice » continue-t-il. Mais il s’interroge sur la volonté du jeune talent. « Il a son restaurant, il est bien, je ne sais pas si il fera ce que j’ai fait, aller chercher des galas, des concerts, organiser des tournées… c’est beaucoup de travail !»
Lorsqu’on l’interroge sur le plus beau moment de sa carrière, Gabilou évoque L’Eurovision : « C’était en 1981, à Dublin. Le concert avait fait 600 000 téléspectateurs, autant que le nombre de spectateurs que réunissait Elvis Presley pour une tournée » commente-t-il. « A l’époque, cette comparaison m’avait impressionné, et c’est vrai que ça a lancé ma carrière. Mais j’étais malade, j’avais attrapé une angine, un coup de froid, j’aurais pu gagner, je pense, si j’avais eu toute ma voix » estime-t-il.
Son plus grand regret, n’avoir pas trouvé le bon manager. « Il fallait que je fasse tout, trouver les contrats, organiser les tournées, les galas ». Pour Gabilou cette contrainte l’a freiné un peu dans l’évolution de sa carrière.
Ses conseils à la jeune génération : composer et se produire sur scène, le plus possible. « Les CD, c’est fini, avec les nouveaux médias…Il faut que les jeunes se produisent un maximum, galas, concerts, anniversaires, soirées privées …et puis composer, écrire de nouvelles chansons. » conseille le chanteur. « Je pense que les chanteurs ne devraient pas accepter d’animer des bringues gratuitement, il faudrait demander une petite participation aux gens dès qu’on se produit, même lors d’une bringue… »
Ses projets d’avenir concernent surtout la scène américaine. « Localement, je veux me produire essentiellement à Taravao, à la maison » précise-t-il affectueusement, faisant référence à l’école de danse de son épouse Moeata. « Pour ce qui est de Toa’ta, Papeete, je ferais un grand gala, le 8 août, qui s’appellera « the last one ».
Aujourd’hui, Gabilou a trouvé son manager en la personne de Hianau, sa fille. Elle gère ses tournées et organise ses contacts.
Concert de Gabilou à Taravao le 3 mai à l’école de danse de Moeata avec
Teiva LC, Andy Tupaia, Yvon Arai, Patrick Noble et bien d’autres…
Billet en vente chez Carrefour Taravao, magasin Ace Taravao, Magasin Eliane ou en appelant Hianau au 78 69 67
Exclusivité ! Revivez le grand concert de Gabilou sur Polynésie 1ère vendredi 18 avril à 19h35
Concert de Gabilou à Taravao le 3 mai à l’école de danse de Moeata avec
Teiva LC, Andy Tupaia, Yvon Arai, Patrick Noble et bien d’autres…
Billet en vente chez Carrefour Taravao, magasin Ace Taravao, Magasin Eliane ou en appelant Hianau au 78 69 67
Exclusivité ! Revivez le grand concert de Gabilou sur Polynésie 1ère vendredi 18 avril à 19h35
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