SYDNEY, 5 août 2013 (AFP) - La femme la plus riche d'Australie, à la tête d'un empire minier, veut mettre fin au conflit féroce qui l'oppose à ses enfants, furieux d'avoir été écartés de la gestion du trust familial, rapporte la presse lundi.
Gina Rinehart, 59 ans, est poursuivie en justice par deux de ses quatre enfants qui réclament son départ du directoire du trust familial chargé de gérer une fortune de plusieurs milliards de dollars.
Mme Rinehart leur a écrit dans l'espoir de mettre fin à ce conflit familial, a indiqué son avocat David Russell, selon l'Australian Broadcasting Corporation.
Elle est prête à nommer un cofiduciaire au sein du directoire du trust familial, a ajouté l'avocat.
Cette proposition est "un très grand pas en avant", a estimé Patricia Bergin, juge à la Cour suprême de l'Etat de Nouvelle-Galles du Sud.
"Si seulement c'était aussi simple", a soupiré son fils, John Hancock, auprès du quotidien Sydney Morning Herald.
La fortune de Gina Rinehart, un temps la femme la plus riche du monde, était estimée à 22,02 milliards de dollars australiens (14,7 milliards d'euros) en mai dernier par le magazine BRW.
Mme Rinehart a hérité de son père de plusieurs mines australiennes, des actifs qu'elle a fait fructifier.
Son père, Lang Hangcock, avait créé un trust familial en 1988, contrôlant 23,4% du groupe Hancock Prospecting, dont les bénéficiaires étaient ses quatre petits-enfants.
Leur mère devait diriger ce trust jusqu'en 2011, date à laquelle le plus jeune des enfants atteindrait l'âge de 25 ans. Mais quelques jours avant la date limite, Gina Rinehart avait cherché à retarder le versement des fonds jusqu'en... 2068, assurant que cela permettrait de réduire le montant des impôts.
Trois de ses enfants, un fils et deux filles, lui avaient alors intenté un procès. Une des filles a renoncé ensuite à l'action en justice.
Depuis des mois, la presse australienne fait ses choux gras de ce conflit familial, où les enfants reprochent à leur mère sa "pingrerie", selon les lettres et mails faisant partie du dossier judiciaire.
Dotée d'un physique imposant et d'une très forte personnalité, Gina Rinehart est réputée pour ses déclarations à l'emporte-pièce sur les "jaloux" qui "passent leur temps à boire et fumer", ses vertes critiques envers le gouvernement travailliste et ses opinions ultra-libérales.
Gina Rinehart, 59 ans, est poursuivie en justice par deux de ses quatre enfants qui réclament son départ du directoire du trust familial chargé de gérer une fortune de plusieurs milliards de dollars.
Mme Rinehart leur a écrit dans l'espoir de mettre fin à ce conflit familial, a indiqué son avocat David Russell, selon l'Australian Broadcasting Corporation.
Elle est prête à nommer un cofiduciaire au sein du directoire du trust familial, a ajouté l'avocat.
Cette proposition est "un très grand pas en avant", a estimé Patricia Bergin, juge à la Cour suprême de l'Etat de Nouvelle-Galles du Sud.
"Si seulement c'était aussi simple", a soupiré son fils, John Hancock, auprès du quotidien Sydney Morning Herald.
La fortune de Gina Rinehart, un temps la femme la plus riche du monde, était estimée à 22,02 milliards de dollars australiens (14,7 milliards d'euros) en mai dernier par le magazine BRW.
Mme Rinehart a hérité de son père de plusieurs mines australiennes, des actifs qu'elle a fait fructifier.
Son père, Lang Hangcock, avait créé un trust familial en 1988, contrôlant 23,4% du groupe Hancock Prospecting, dont les bénéficiaires étaient ses quatre petits-enfants.
Leur mère devait diriger ce trust jusqu'en 2011, date à laquelle le plus jeune des enfants atteindrait l'âge de 25 ans. Mais quelques jours avant la date limite, Gina Rinehart avait cherché à retarder le versement des fonds jusqu'en... 2068, assurant que cela permettrait de réduire le montant des impôts.
Trois de ses enfants, un fils et deux filles, lui avaient alors intenté un procès. Une des filles a renoncé ensuite à l'action en justice.
Depuis des mois, la presse australienne fait ses choux gras de ce conflit familial, où les enfants reprochent à leur mère sa "pingrerie", selon les lettres et mails faisant partie du dossier judiciaire.
Dotée d'un physique imposant et d'une très forte personnalité, Gina Rinehart est réputée pour ses déclarations à l'emporte-pièce sur les "jaloux" qui "passent leur temps à boire et fumer", ses vertes critiques envers le gouvernement travailliste et ses opinions ultra-libérales.
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