NOUMÉA, 7 avril 2014 (AFP) - La police et la gendarmerie de Nouvelle-Calédonie étaient lundi à la recherche de quatre jeunes détenus de la prison du Camp Est, qui se sont fait la belle vendredi dernier, a indiqué la police nationale.
Agés d'une vingtaine d'années, les quatre détenus ont forcé une porte puis utilisé des draps tressés entre eux pour escalader le mur d'enceinte de cette prison délabrée en cours de réfection.
"Ils étaient incarcérés dans le secteur le plus vulnérable du Camp Est. Ils étaient deux par box dans un bâtiment vétuste qui devrait être rasé en juin prochain", a déclaré aux Nouvelles-Calédoniennes Jean-Christophe Lagrange, directeur de la prison.
Durant le week-end, un barrage filtrant a été mis en place à l'entrée de la presqu'île de Nouville où se trouve l'établissement pénitentiaire, la zone a également été fouillée et survolée en hélicoptère, sans résultat.
"Il ne s'agit pas d'une évasion d'opportunité mais d'une opération bien préparée", a indiqué à l'AFP un porte-parole de la police nationale, précisant que ces détenus avaient été condamnés pour des vols et des cambriolages.
La dernière évasion de cette prison, l'une des plus surpeuplée de France avec environ 400 prisonniers pour 218 places, remonte à novembre 2012.
Agés d'une vingtaine d'années, les quatre détenus ont forcé une porte puis utilisé des draps tressés entre eux pour escalader le mur d'enceinte de cette prison délabrée en cours de réfection.
"Ils étaient incarcérés dans le secteur le plus vulnérable du Camp Est. Ils étaient deux par box dans un bâtiment vétuste qui devrait être rasé en juin prochain", a déclaré aux Nouvelles-Calédoniennes Jean-Christophe Lagrange, directeur de la prison.
Durant le week-end, un barrage filtrant a été mis en place à l'entrée de la presqu'île de Nouville où se trouve l'établissement pénitentiaire, la zone a également été fouillée et survolée en hélicoptère, sans résultat.
"Il ne s'agit pas d'une évasion d'opportunité mais d'une opération bien préparée", a indiqué à l'AFP un porte-parole de la police nationale, précisant que ces détenus avaient été condamnés pour des vols et des cambriolages.
La dernière évasion de cette prison, l'une des plus surpeuplée de France avec environ 400 prisonniers pour 218 places, remonte à novembre 2012.
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