PIRAE, le 31 mars 2014 – Entre 2500 et 2700 personnes ont assisté au concert gratuit du groupe Pepena ce samedi 29 mars au stade Pater de Pirae. Un spectacle qui s’inscrivait comme étant le dernier événement de la planète en faveur de la Earth Hour. Cette heure pour la Terre a invité tous les citoyens du monde à éteindre leurs lumières et appareils électriques pendant une heure, de 20h30 à 21h30. Une action spectaculairement suivie, destinée à sensibiliser aux problèmes environnementaux les plus de 150 pays participant.
La population, venue nombreuse et en famille, a joué le jeu en apportant un déchet à recycler en guise de ticket d’entrée. Des badauds étaient déguisés, mais tous pouvaient demander aux volontaires (habillés pour certains de déchets reconvertis en vêtements) de leur peindre le visage de paillettes pour participer à la fête. Et l’organisation leur avait réservé une petite surprise : un tapis rouge les accueillait, avec un photographe pour immortaliser leur participation à cette action écologique. Ces photos seront partagées sur la page Facebook de Earth Hour Tahiti.
Avant le concert, des animations permettaient aux premiers arrivés, installés dès 18h, de patienter. Un DJ assurait l’ambiance musicale, une roulotte permettait de se sustenter et une démonstration de slack line, ce funambulisme moderne, a passionné les enfants. Le concert a démarré avec un peu d’avance, et le temps fort a bien sûr été à 20h30, quand toutes les lumières du stade se sont éteintes et que Pepena a chanté dans le noir complet. Mais les lumières et les spots de la scène se sont rapidement rallumées, pour que chacun puisse profiter du groupe.
Outre le concert, de nombreux dîners aux chandelles étaient organisés dans les restaurants, bars, hôtels et même roulottes de l’île. Les enseignes de certains magasins, dont celle du Centre Vaima, se sont éteintes durant l’heure dite. Et certains particuliers ont eux-mêmes cuisiné et dîné dans le noir en couple, en famille ou entre amis. Dans le reste du monde, les associations s’étaient tout autant mobilisées pour cette idée née en 2007 en Australie et devenue globale en quelques années. En France, la Tour Eiffel et plus de 400 autres monuments se sont plongés dans le noir pour 60 minutes. Sur la mythique place de New York, Time Square, les panneaux publicitaires ont suspendu leur mission de propagande commerciale en faveur d’un écran vide pour la planète. En Chine même, où la population ressent cruellement les problèmes qui surgissent lorsque l’environnement est négligé, le Stade Olympique de Pékin s’est plongé dans le noir et des régions entières se sont mobilisées, créant un impact visible – selon des sources officielles chinoises – depuis l’espace.
La population, venue nombreuse et en famille, a joué le jeu en apportant un déchet à recycler en guise de ticket d’entrée. Des badauds étaient déguisés, mais tous pouvaient demander aux volontaires (habillés pour certains de déchets reconvertis en vêtements) de leur peindre le visage de paillettes pour participer à la fête. Et l’organisation leur avait réservé une petite surprise : un tapis rouge les accueillait, avec un photographe pour immortaliser leur participation à cette action écologique. Ces photos seront partagées sur la page Facebook de Earth Hour Tahiti.
Avant le concert, des animations permettaient aux premiers arrivés, installés dès 18h, de patienter. Un DJ assurait l’ambiance musicale, une roulotte permettait de se sustenter et une démonstration de slack line, ce funambulisme moderne, a passionné les enfants. Le concert a démarré avec un peu d’avance, et le temps fort a bien sûr été à 20h30, quand toutes les lumières du stade se sont éteintes et que Pepena a chanté dans le noir complet. Mais les lumières et les spots de la scène se sont rapidement rallumées, pour que chacun puisse profiter du groupe.
Outre le concert, de nombreux dîners aux chandelles étaient organisés dans les restaurants, bars, hôtels et même roulottes de l’île. Les enseignes de certains magasins, dont celle du Centre Vaima, se sont éteintes durant l’heure dite. Et certains particuliers ont eux-mêmes cuisiné et dîné dans le noir en couple, en famille ou entre amis. Dans le reste du monde, les associations s’étaient tout autant mobilisées pour cette idée née en 2007 en Australie et devenue globale en quelques années. En France, la Tour Eiffel et plus de 400 autres monuments se sont plongés dans le noir pour 60 minutes. Sur la mythique place de New York, Time Square, les panneaux publicitaires ont suspendu leur mission de propagande commerciale en faveur d’un écran vide pour la planète. En Chine même, où la population ressent cruellement les problèmes qui surgissent lorsque l’environnement est négligé, le Stade Olympique de Pékin s’est plongé dans le noir et des régions entières se sont mobilisées, créant un impact visible – selon des sources officielles chinoises – depuis l’espace.
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