PAPEETE, le 17 Mars 2014 ( COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE): Trois familles, propriétaires d’une partie du terrain de l’ancien Club Méditerranée à Moorea, ont souhaité exprimer leur opposition à la vente de leurs terres dans le cadre du projet touristique Moorea Mahana Beach.
Le gouvernement de la Polynésie française précise qu’il souhaite en effet acheter ses terres laissées à l’abandon et en friche depuis la fermeture du Club Méditerranée le 31 décembre 2001, afin d’y développer un important projet de développement sur un site dont personne ne conteste aujourd’hui la vocation éminemment touristique. A cet effet, le gouvernement a entamé des discussions avec les familles propriétaires. Il n’a pas encore pu toutes les rencontrer. La plupart des familles déjà rencontrées ont accepté de vendre, et elles ont signés des promesses de ventes. Pour celles qui ne voudraient pas vendre, le pays propose des échanges de terres.
Aucun projet touristique n’est aujourd’hui possible sur ce magnifique site abandonné, en raison de la division des nombreux copropriétaires, qui ne s’entendent ni sur le prix, ni sur la durée du bail. Devant une telle incertitude, aucun investisseur ne se montre intéressé. Cette situation de blocage, de notoriété publique, a déjà conduit à la fermeture du Club Méditerranée, faute d’entente avec une partie des propriétaires, et au retrait de tous les promoteurs qui se sont ensuite manifestés.
C’est pourquoi, le Pays a décidé de se porter acquéreur et de rencontrer les propriétaires afin d’exploiter ce site à sa juste valeur, de sorte qu’il puisse apporter une contribution majeure à la reprise économique et à la relance touristique tant attendues.
La terre entrera donc dans le patrimoine foncier de la Polynésie française. Elle ne sera pas vendue à des étrangers. Elle sera louée dans le cadre de baux emphytéotiques à long terme pour permettre la réalisation d’un projet essentiel à la création d’emplois sur l’île de Moorea. Cette terre de Haapiti est considérée comme une zone de développement prioritaire génératrice de centaines d’emplois, et à ce titre, le projet Moorea Mahana Beach répond en tout point à l’intérêt général qui guide l’action du gouvernement.
Le gouvernement de la Polynésie française précise qu’il souhaite en effet acheter ses terres laissées à l’abandon et en friche depuis la fermeture du Club Méditerranée le 31 décembre 2001, afin d’y développer un important projet de développement sur un site dont personne ne conteste aujourd’hui la vocation éminemment touristique. A cet effet, le gouvernement a entamé des discussions avec les familles propriétaires. Il n’a pas encore pu toutes les rencontrer. La plupart des familles déjà rencontrées ont accepté de vendre, et elles ont signés des promesses de ventes. Pour celles qui ne voudraient pas vendre, le pays propose des échanges de terres.
Aucun projet touristique n’est aujourd’hui possible sur ce magnifique site abandonné, en raison de la division des nombreux copropriétaires, qui ne s’entendent ni sur le prix, ni sur la durée du bail. Devant une telle incertitude, aucun investisseur ne se montre intéressé. Cette situation de blocage, de notoriété publique, a déjà conduit à la fermeture du Club Méditerranée, faute d’entente avec une partie des propriétaires, et au retrait de tous les promoteurs qui se sont ensuite manifestés.
C’est pourquoi, le Pays a décidé de se porter acquéreur et de rencontrer les propriétaires afin d’exploiter ce site à sa juste valeur, de sorte qu’il puisse apporter une contribution majeure à la reprise économique et à la relance touristique tant attendues.
La terre entrera donc dans le patrimoine foncier de la Polynésie française. Elle ne sera pas vendue à des étrangers. Elle sera louée dans le cadre de baux emphytéotiques à long terme pour permettre la réalisation d’un projet essentiel à la création d’emplois sur l’île de Moorea. Cette terre de Haapiti est considérée comme une zone de développement prioritaire génératrice de centaines d’emplois, et à ce titre, le projet Moorea Mahana Beach répond en tout point à l’intérêt général qui guide l’action du gouvernement.
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