FICHE D’IDENTITE
11 143 habitants
8 118 électeurs
33 conseillers municipaux à élire
Superficie : 9300 hectares
Maire sortant : Bruno Sandras (depuis 2001)
11 143 habitants
8 118 électeurs
33 conseillers municipaux à élire
Superficie : 9300 hectares
Maire sortant : Bruno Sandras (depuis 2001)
Une dizaine de kilomètres de littoral, des spots de surf réputés, des plages de sable noir. A plus de 30 km de l’agglomération de Papeete et de son agitation chronique, la commune de Papara, très agricole, a encore tous les atouts de la carte postale tahitienne. Une qualité de vie qui a su attirer de nouveaux habitants : en un quart de siècle, la population de Papapa a quasiment doublé : 6 199 habitants en 1988 et 11 143 fin 2012. Mais, ce que l’on retient particulièrement de Papara, au premier passage, ce sont les églises qui se succèdent dans la traversée de la commune.
L’une des problématiques prioritaire de la commune de Papara est celle de la distribution de l’eau (si possible potable) aux habitants qui se plaignent très régulièrement d’une pénurie d’eau ou d’une pression insuffisante aux robinets. Les captages de source sont mal adaptés aux besoins, alors que des ressources disponibles restent peu exploitées. Fragilité et faiblesse du rendement du réseau provoquent des interruptions de distribution et des pertes de production. Et la qualité n’est pas au rendez-vous : « Malgré la désinfection des réseaux et les efforts de la commune, celle-ci distribue une eau de qualité peu satisfaisante », tranchait le rapport 2012 du centre d’hygiène et de salubrité publique, sur la qualité des eaux destinées à la consommation humaine. L’étude a constaté qu’un quart des prélèvements (24%) effectués sur la commune en bout de réseau sont non potables.
La gestion de la commune de Papara est marquée par un profond déséquilibre financier. La commune a été épinglée à deux reprises en 2004 et en 2012 par des rapports de la Chambre territoriale des comptes (CTC), extrêmement critiques. Le premier établit ainsi que «la situation financière de la commune, stable de 1998 à 2001, s’est détériorée à, partir de l’année 2002. Le constant d’une forte progression de la masse salariale en 2002 réduit les capacités d’épargne de la commune». En mars 2012, la CTC ne constate pas de mieux, au contraire, entre 2003 et 2010 la hausse des dépenses de fonctionnement a été deux fois plus forte que les recettes ! La synthèse est lapidaire : Papara «vit largement au-dessus de ses moyens». Depuis 2012, un plan pluriannuel de redressement budgétaire estplanifié, dont le terme est fixé désormais en 2018.
Preuve que les difficultés financières de la commune sont encore très prégnantes, le dernier budget primitif de Papara pour 2013 (1,8 milliard de Fcfp dont 335 millions de Fcfp en investissement) a été de nouveau adopté avec un déséquilibre de 360 millions de Fcfp en fonctionnement. Dans un avis rendu en septembre 2013, la CTC indique que le plan de retour à l’équilibre budgétaire de Papara, «implique de substantielles économies de gestion portant sur les exercices 2013 à 2018».
L’une des problématiques prioritaire de la commune de Papara est celle de la distribution de l’eau (si possible potable) aux habitants qui se plaignent très régulièrement d’une pénurie d’eau ou d’une pression insuffisante aux robinets. Les captages de source sont mal adaptés aux besoins, alors que des ressources disponibles restent peu exploitées. Fragilité et faiblesse du rendement du réseau provoquent des interruptions de distribution et des pertes de production. Et la qualité n’est pas au rendez-vous : « Malgré la désinfection des réseaux et les efforts de la commune, celle-ci distribue une eau de qualité peu satisfaisante », tranchait le rapport 2012 du centre d’hygiène et de salubrité publique, sur la qualité des eaux destinées à la consommation humaine. L’étude a constaté qu’un quart des prélèvements (24%) effectués sur la commune en bout de réseau sont non potables.
La gestion de la commune de Papara est marquée par un profond déséquilibre financier. La commune a été épinglée à deux reprises en 2004 et en 2012 par des rapports de la Chambre territoriale des comptes (CTC), extrêmement critiques. Le premier établit ainsi que «la situation financière de la commune, stable de 1998 à 2001, s’est détériorée à, partir de l’année 2002. Le constant d’une forte progression de la masse salariale en 2002 réduit les capacités d’épargne de la commune». En mars 2012, la CTC ne constate pas de mieux, au contraire, entre 2003 et 2010 la hausse des dépenses de fonctionnement a été deux fois plus forte que les recettes ! La synthèse est lapidaire : Papara «vit largement au-dessus de ses moyens». Depuis 2012, un plan pluriannuel de redressement budgétaire estplanifié, dont le terme est fixé désormais en 2018.
Preuve que les difficultés financières de la commune sont encore très prégnantes, le dernier budget primitif de Papara pour 2013 (1,8 milliard de Fcfp dont 335 millions de Fcfp en investissement) a été de nouveau adopté avec un déséquilibre de 360 millions de Fcfp en fonctionnement. Dans un avis rendu en septembre 2013, la CTC indique que le plan de retour à l’équilibre budgétaire de Papara, «implique de substantielles économies de gestion portant sur les exercices 2013 à 2018».
Bruno Sandras
Papara Ai’a no te hau
53 ans – Maire sortant
«On m’a fait quelques petites crasses quand même (…). Le Pays n’aide pas la commune pour des raisons politiciennes», s’indigne l’ancien Taho’era’a Huira’atira Bruno Sandras, ancien député, ancien ministre, ancien président de l’assemblée de Polynésie française, ancien secrétaire général du syndicat A Ti’a i mua, et aujourd’hui maire sortant de Papara, candidat pour une troisième mandature. Il conduit une liste d’union communale baptisée « Papara, havre de Paix » (Papara, Ai’a ne te hau). Son bilan : « Vous savez, ça fait 13 ans que je suis maire. Aujourd’hui, il y a tout ce qu’il faut à Papara », dit-il en annonçant que « tous les investissements (seront axés) sur la rénovation des équipements publics ». Et, pour dynamiser l’entreprenariat local, Papara, Ai’a ne te hau a le projet de créer des ateliers relais en faveur des jeunes porteurs de projet de la commune. Quant au chantier de l’eau, « 140 millions sont programmés pour la réfection des réseaux ».
Papara Ai’a no te hau
53 ans – Maire sortant
«On m’a fait quelques petites crasses quand même (…). Le Pays n’aide pas la commune pour des raisons politiciennes», s’indigne l’ancien Taho’era’a Huira’atira Bruno Sandras, ancien député, ancien ministre, ancien président de l’assemblée de Polynésie française, ancien secrétaire général du syndicat A Ti’a i mua, et aujourd’hui maire sortant de Papara, candidat pour une troisième mandature. Il conduit une liste d’union communale baptisée « Papara, havre de Paix » (Papara, Ai’a ne te hau). Son bilan : « Vous savez, ça fait 13 ans que je suis maire. Aujourd’hui, il y a tout ce qu’il faut à Papara », dit-il en annonçant que « tous les investissements (seront axés) sur la rénovation des équipements publics ». Et, pour dynamiser l’entreprenariat local, Papara, Ai’a ne te hau a le projet de créer des ateliers relais en faveur des jeunes porteurs de projet de la commune. Quant au chantier de l’eau, « 140 millions sont programmés pour la réfection des réseaux ».
Stellio Salmon
Tahoeraa Huiraatira No Papara
54 ans. Commandant de bord à la retraite.
Plébiscité pour être la tête de liste du Tahoeraa à Papara par la fédération et le comité de soutien, Stellio Salmon a accepté de mettre sa disponibilité au service de la commune. Ancien conseiller municipal de Papara entre 1995 et 2001, il sait ce que l’engagement au service d’une municipalité nécessite comme énergie et sacrifice. Mais, désormais retraité, il a relevé le défi sur sa commune et estime qu’il peut se mettre au service de la population «tout le temps». Les grandes lignes du programme du parti orange sur Papara tournent autour de trois axes : les conditions de vie de la commune, un travail nécessaire à mener avec et pour la jeunesse et enfin participer aux conditions de création d’emplois sur la commune. Mais le plus urgent à faire, est la mission qui incombe à toutes les communes au 31 décembre 2015, à savoir fournir de l’eau «en quantité suffisante et potable» à tous les administrés. Un défi réalisable «si le maire s’en occupe» précise Stelllio Salmon.
Tahoeraa Huiraatira No Papara
54 ans. Commandant de bord à la retraite.
Plébiscité pour être la tête de liste du Tahoeraa à Papara par la fédération et le comité de soutien, Stellio Salmon a accepté de mettre sa disponibilité au service de la commune. Ancien conseiller municipal de Papara entre 1995 et 2001, il sait ce que l’engagement au service d’une municipalité nécessite comme énergie et sacrifice. Mais, désormais retraité, il a relevé le défi sur sa commune et estime qu’il peut se mettre au service de la population «tout le temps». Les grandes lignes du programme du parti orange sur Papara tournent autour de trois axes : les conditions de vie de la commune, un travail nécessaire à mener avec et pour la jeunesse et enfin participer aux conditions de création d’emplois sur la commune. Mais le plus urgent à faire, est la mission qui incombe à toutes les communes au 31 décembre 2015, à savoir fournir de l’eau «en quantité suffisante et potable» à tous les administrés. Un défi réalisable «si le maire s’en occupe» précise Stelllio Salmon.
Médéric Tehaamatai.
Tāvini Huira’atira.
60 ans. Retraité personnel navigant commercial
Depuis la création de la section Tāvini sur la commune de Papara, Médéric Tehaamatai a très vite adhéré aux idéologies du parti indépendantiste. Comme d’autres candidats du même bord, il a commencé sa carrière politique lors des municipales de 2001 où il était déjà tête de liste. Plus tard, lors de Territoriales d’avril et mai 2013, Oscar Temaru le place 15ème de liste UPLD. Comme une suite logique de cet engagement politique, il est donc normal de le retrouver sur sa commune en tant que tête de liste du groupe Tāvini iā Papara.
« Je compte remettre le civisme à l’ordre du jour sur la commune ; aussi bien sur le plan environnemental que de l’urbanisme» explique-t-il. L’avenir de la jeunesse de Papara le préoccupe également avec ses colistiers et c’est un autre axe important du programme qu’il présente pour sa commune. «Je souhaiterais la construction d’une annexe du Conservatoire, voire même ouvrir un centre équestre».
Tāvini Huira’atira.
60 ans. Retraité personnel navigant commercial
Depuis la création de la section Tāvini sur la commune de Papara, Médéric Tehaamatai a très vite adhéré aux idéologies du parti indépendantiste. Comme d’autres candidats du même bord, il a commencé sa carrière politique lors des municipales de 2001 où il était déjà tête de liste. Plus tard, lors de Territoriales d’avril et mai 2013, Oscar Temaru le place 15ème de liste UPLD. Comme une suite logique de cet engagement politique, il est donc normal de le retrouver sur sa commune en tant que tête de liste du groupe Tāvini iā Papara.
« Je compte remettre le civisme à l’ordre du jour sur la commune ; aussi bien sur le plan environnemental que de l’urbanisme» explique-t-il. L’avenir de la jeunesse de Papara le préoccupe également avec ses colistiers et c’est un autre axe important du programme qu’il présente pour sa commune. «Je souhaiterais la construction d’une annexe du Conservatoire, voire même ouvrir un centre équestre».
Tiarenui Papara, épouse Conroy
Papara Nui e Tu
39 ans. Professeur des écoles
Première expérience politique pour Tiarenui Papara et première campagne électorale, entamée dès le début du mois de janvier 2014. L’objectif prioritaire de cette liste, qui rassemble au moins un tiers de personnes habituellement engagées dans divers partis politiques est de viser la proximité avec la population. «Nous voulions être entre personnes de familles souches de la commune et ce que nous voulons, avant tout, c’est répondre aux besoins de la population» détaille la tête de liste de Papara Nui e tu. Pour ces citoyens de Papara, la commune a des atouts mal exploités ou mis à mal par les difficultés budgétaires de la municipalité. Au programme de cette liste : l’encadrement de la jeunesse de Papara avec un accompagnement à la parentalité, l’amélioration des conditions de vie des élèves ; mais aussi une réduction du train de vie de la commune pour dégager de l’investissement ou encore initier des projets créateurs d’emplois.
Papara Nui e Tu
39 ans. Professeur des écoles
Première expérience politique pour Tiarenui Papara et première campagne électorale, entamée dès le début du mois de janvier 2014. L’objectif prioritaire de cette liste, qui rassemble au moins un tiers de personnes habituellement engagées dans divers partis politiques est de viser la proximité avec la population. «Nous voulions être entre personnes de familles souches de la commune et ce que nous voulons, avant tout, c’est répondre aux besoins de la population» détaille la tête de liste de Papara Nui e tu. Pour ces citoyens de Papara, la commune a des atouts mal exploités ou mis à mal par les difficultés budgétaires de la municipalité. Au programme de cette liste : l’encadrement de la jeunesse de Papara avec un accompagnement à la parentalité, l’amélioration des conditions de vie des élèves ; mais aussi une réduction du train de vie de la commune pour dégager de l’investissement ou encore initier des projets créateurs d’emplois.
Moananui Amaru épouse Lehartel
Ia ora Papara
44 ans. Enseignante retraitée.
Comment une jeune institutrice retraitée, ayant élevé trois enfants, devient-elle candidate au poste de maire ? Moananui Amaru-Lehartel, surnommée Tita, l’explique très bien. «Parce que j’avais envie de changer les choses». Elle estime qu’elle a les compétences et le temps de s’occuper de sa commune et s’est entourée de colistiers apolitiques comme elle, «c’est une équipe jeune qui a envie de changer les choses». Son programme se décline en acrostiche, à partir du mot anglais «Arrived». A pour assainir, aussi bien les finances de la commune que l’environnement ; le double R pour recadrer et responsabiliser ; I ou «je » en anglais qui invite la population à venir partager ses idées ; V et E pour valoriser ce qui existe déjà et encourager : «Papara a beaucoup de potentiel mais il est mal utilisé. Par exemple on a énormément d’eau mais rien au robinet» ; D pour dynamiser et faire en sorte que «les projets mis en place puissent durer».
Ia ora Papara
44 ans. Enseignante retraitée.
Comment une jeune institutrice retraitée, ayant élevé trois enfants, devient-elle candidate au poste de maire ? Moananui Amaru-Lehartel, surnommée Tita, l’explique très bien. «Parce que j’avais envie de changer les choses». Elle estime qu’elle a les compétences et le temps de s’occuper de sa commune et s’est entourée de colistiers apolitiques comme elle, «c’est une équipe jeune qui a envie de changer les choses». Son programme se décline en acrostiche, à partir du mot anglais «Arrived». A pour assainir, aussi bien les finances de la commune que l’environnement ; le double R pour recadrer et responsabiliser ; I ou «je » en anglais qui invite la population à venir partager ses idées ; V et E pour valoriser ce qui existe déjà et encourager : «Papara a beaucoup de potentiel mais il est mal utilisé. Par exemple on a énormément d’eau mais rien au robinet» ; D pour dynamiser et faire en sorte que «les projets mis en place puissent durer».
Clément Le Gayic
Papara To’u Fenua
53 ans. Cadre jeunesse et sports.
Déjà candidat pour les municipales en 1995, Clément Le Gayic s’est décidé à repartir en campagne, près de 20 ans plus tard, avec le sentiment «qu’on ne peut plus laisser continuer ce qui se passe». Il pointe du doigt la gestion du maire sortant, «notre commune affiche un déficit de 450 millions de Fcfp». Il indique encore le poids de la masse salariale communale qui pèse «69% du budget total de fonctionnement» ou le paradoxe de Papara qui «a beaucoup de rivières mais qui est pauvre en eau». La liste Papara To’u Fenua est issue de cette volonté de changer les choses, entre personnes issues tous les partis, avec comme axe principal l’assainissement des finances publiques. «Sans argent, on ne peut rien faire» or, Clément Le Gayic et ses colistiers se sont donnés comme objectif d’améliorer le cadre de vie à Papara en travaillant sur les fondamentaux : eau, déchets notamment et en développant le tissu associatif trop «pauvre actuellement» afin de créer de l’animation dans la commune.
Papara To’u Fenua
53 ans. Cadre jeunesse et sports.
Déjà candidat pour les municipales en 1995, Clément Le Gayic s’est décidé à repartir en campagne, près de 20 ans plus tard, avec le sentiment «qu’on ne peut plus laisser continuer ce qui se passe». Il pointe du doigt la gestion du maire sortant, «notre commune affiche un déficit de 450 millions de Fcfp». Il indique encore le poids de la masse salariale communale qui pèse «69% du budget total de fonctionnement» ou le paradoxe de Papara qui «a beaucoup de rivières mais qui est pauvre en eau». La liste Papara To’u Fenua est issue de cette volonté de changer les choses, entre personnes issues tous les partis, avec comme axe principal l’assainissement des finances publiques. «Sans argent, on ne peut rien faire» or, Clément Le Gayic et ses colistiers se sont donnés comme objectif d’améliorer le cadre de vie à Papara en travaillant sur les fondamentaux : eau, déchets notamment et en développant le tissu associatif trop «pauvre actuellement» afin de créer de l’animation dans la commune.
Mireta Tefaaora
Fa’aora iā Papara
57 ans. Commerçante retraitée.
Commerçante depuis trente-sept ans, Mireta Tefaaora connait personnellement presque tous les habitants de sa commune, Papara. Elle a fait ses premiers pas en politique vers la fin des années 1990 sur une liste d’union menée alors par Anna Holozet. En 2001, elle est également inscrite sur la liste du Tāhō’ēra’a Huira’atira menée par le maire sortant d’alors, Eugène Bessert. Mais lors de ces élections, Bruno Sandras est élu. Il a même conservé son siège au mandat suivant et brigue une 3e élection. « Je me lance car depuis toutes ces années en qualité de commerçante, j’ai été amené à écouter, aider et soutenir bon nombre d’administrés de la commune» explique Mireta Tefaaora.
Son programme traite des grandes problématiques connues : les déchets, l’eau potable. Pour ces municipales, Mireta Tefaaora arpente les quartiers en scandant le slogan de sa liste d’union : « A ti’a, a parau, a rohi ! » qui signifie : « Levez-vous, exprimez-vous et agissez !»
Fa’aora iā Papara
57 ans. Commerçante retraitée.
Commerçante depuis trente-sept ans, Mireta Tefaaora connait personnellement presque tous les habitants de sa commune, Papara. Elle a fait ses premiers pas en politique vers la fin des années 1990 sur une liste d’union menée alors par Anna Holozet. En 2001, elle est également inscrite sur la liste du Tāhō’ēra’a Huira’atira menée par le maire sortant d’alors, Eugène Bessert. Mais lors de ces élections, Bruno Sandras est élu. Il a même conservé son siège au mandat suivant et brigue une 3e élection. « Je me lance car depuis toutes ces années en qualité de commerçante, j’ai été amené à écouter, aider et soutenir bon nombre d’administrés de la commune» explique Mireta Tefaaora.
Son programme traite des grandes problématiques connues : les déchets, l’eau potable. Pour ces municipales, Mireta Tefaaora arpente les quartiers en scandant le slogan de sa liste d’union : « A ti’a, a parau, a rohi ! » qui signifie : « Levez-vous, exprimez-vous et agissez !»
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