PAPEETE, 25 février 2014 - Le P-dg de Tian Rui International Investment (TRII) a accepté de se prêter à une interview après la signature d'une convention aquacole concernant le projet de Makemo, entre sa société et la Polynésie française, en fin de matinée.
> Lire : Ferme aquacole de Makemo : démarrage prévu pour juin
Vous annonciez la possibilité en août dernier de développer le projet aquacole sur les atolls voisins de Makemo. Qu’en est-il aujourd’hui ?
Cheng Wang : Le projet aquacole n’est pas seulement envisagé sur Makemo. C’est une première île. Ensuite on va s’étendre. Nos techniciens vont venir et faire des études dans les îles polynésiennes pour voir quelles zones profitent à quelle espèce.
Quelle taille aura cette première exploitation ?
Cheng Wang : Jusqu’à maintenant on a toujours dit que l’investissement sera de un milliard cinq cents millions d’US dollars et que l’on va créer au moins mille emplois directs.
Pourquoi avoir choisi la Polynésie française pour développer ce projet ? Est-ce parce que l’on vous propose des conditions économiques et financières intéressantes, ou en raison de considérations écologiques ?
Cheng Wang : Nous avons choisi la Polynésie en raison des conditions naturelles : la température et la qualité de l’eau. Bien sûr il y a des avantages ; mais aussi des points faibles. Par exemple, le prix de revient de la main d’œuvre est beaucoup plus élevé que dans les autres pays du Pacifique. Et puis, le coût du transport est élevé.
Pourquoi avoir choisi Makemo, dans ces conditions ?
Cheng Wang : Nous pouvons avoir une valeur ajoutée avec le nom Tahiti, une marque de qualité. En plus, dans la première phase nous allons cibler notre production sur les mérous. Ce poisson se développe très bien dans les lagons.
Quelle est votre ambition en terme de production à terme ?
Cheng Wang : Je pense que ce sera plus de 50 000 tonnes par an. Mais bien sûr cela dépendra de la coopération bilatérale avec le Pays et la population. Le mieux nous serons soutenus, plus grande sera notre production. D’un autre côté nous allons respecter toutes les réglementations existantes et faire ce que nous pourrons pour la préservation de l’environnement, afin que ce projet connaisse un développement durable.
Idéalement, une telle production sera développée à partir de combien d’atolls ?
Cheng Wang : Pour l’instant, on compte sur Makemo et les atolls voisins.
> Lire : Ferme aquacole de Makemo : démarrage prévu pour juin
Vous annonciez la possibilité en août dernier de développer le projet aquacole sur les atolls voisins de Makemo. Qu’en est-il aujourd’hui ?
Cheng Wang : Le projet aquacole n’est pas seulement envisagé sur Makemo. C’est une première île. Ensuite on va s’étendre. Nos techniciens vont venir et faire des études dans les îles polynésiennes pour voir quelles zones profitent à quelle espèce.
Quelle taille aura cette première exploitation ?
Cheng Wang : Jusqu’à maintenant on a toujours dit que l’investissement sera de un milliard cinq cents millions d’US dollars et que l’on va créer au moins mille emplois directs.
Pourquoi avoir choisi la Polynésie française pour développer ce projet ? Est-ce parce que l’on vous propose des conditions économiques et financières intéressantes, ou en raison de considérations écologiques ?
Cheng Wang : Nous avons choisi la Polynésie en raison des conditions naturelles : la température et la qualité de l’eau. Bien sûr il y a des avantages ; mais aussi des points faibles. Par exemple, le prix de revient de la main d’œuvre est beaucoup plus élevé que dans les autres pays du Pacifique. Et puis, le coût du transport est élevé.
Pourquoi avoir choisi Makemo, dans ces conditions ?
Cheng Wang : Nous pouvons avoir une valeur ajoutée avec le nom Tahiti, une marque de qualité. En plus, dans la première phase nous allons cibler notre production sur les mérous. Ce poisson se développe très bien dans les lagons.
Quelle est votre ambition en terme de production à terme ?
Cheng Wang : Je pense que ce sera plus de 50 000 tonnes par an. Mais bien sûr cela dépendra de la coopération bilatérale avec le Pays et la population. Le mieux nous serons soutenus, plus grande sera notre production. D’un autre côté nous allons respecter toutes les réglementations existantes et faire ce que nous pourrons pour la préservation de l’environnement, afin que ce projet connaisse un développement durable.
Idéalement, une telle production sera développée à partir de combien d’atolls ?
Cheng Wang : Pour l’instant, on compte sur Makemo et les atolls voisins.
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