Papeete, le 24 Juil 2013. (Communiqué) Après avoir reçu au début du mois Kailua MONOD qui doit participer aux jeux mondiaux des transplantés en Afrique du Sud qui débutent ce 25 juillet, le président de l’Assemblée de la Polynésie française a mis à profit son déplacement à Paris pour rencontrer Olivier Coustère, président de l’association Trans-Forme, association fédérative des sportifs transplantés et dialysés.
Edouard Fritch était accompagné de Béatrice Chansin, ministre de la Santé, et Jean-Paul Tuaiva, député.
Pour faire suite au vote par l’Assemblée de la Polynésie d’un texte sur les transplantations d’organes, cette rencontre avait pour but de voir dans quelles conditions l’association Trans-Forme pourraient relayer ses actions en faveur des dons d’organes en Polynésie française. Pour Edouard Fritch, il convient que « la transplantation devienne une réalité en Polynésie, surtout pour les dialysés ».
Le président de l’association a fait auprès de ses interlocuteurs un point global des actions qu’il mène, d’une part, en faveur de la promotion du sport chez les transplantés, et d’autre part pour les dons d’organes.
Pour lui, maintenant que les transplantations sont autorisées en Polynésie, il convient de valoriser les dons d’organes et « apprendre aux Polynésiens à donner. Il faut valoriser la chance de recevoir un organe. Dans les jeux mondiaux, il n’y a pas un greffé qui ne remercie pas son donneur ».
Olivier Coustère s’est montré très favorable à l’implantation d’une branche de son association en Polynésie française tandis que Béatrice Chansin, également très intéressée par la démarche, a indiqué qu’elle allait étudier les conditions favorables à la mise en œuvre de ce projet.
Edouard Fritch était accompagné de Béatrice Chansin, ministre de la Santé, et Jean-Paul Tuaiva, député.
Pour faire suite au vote par l’Assemblée de la Polynésie d’un texte sur les transplantations d’organes, cette rencontre avait pour but de voir dans quelles conditions l’association Trans-Forme pourraient relayer ses actions en faveur des dons d’organes en Polynésie française. Pour Edouard Fritch, il convient que « la transplantation devienne une réalité en Polynésie, surtout pour les dialysés ».
Le président de l’association a fait auprès de ses interlocuteurs un point global des actions qu’il mène, d’une part, en faveur de la promotion du sport chez les transplantés, et d’autre part pour les dons d’organes.
Pour lui, maintenant que les transplantations sont autorisées en Polynésie, il convient de valoriser les dons d’organes et « apprendre aux Polynésiens à donner. Il faut valoriser la chance de recevoir un organe. Dans les jeux mondiaux, il n’y a pas un greffé qui ne remercie pas son donneur ».
Olivier Coustère s’est montré très favorable à l’implantation d’une branche de son association en Polynésie française tandis que Béatrice Chansin, également très intéressée par la démarche, a indiqué qu’elle allait étudier les conditions favorables à la mise en œuvre de ce projet.
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