Dans le cadre des rencontres prévues avec les bailleurs de fonds de la Polynésie française, le vice-président Nuihau LAUREY accompagné de Benoit THIRION, conseiller technique ont été reçus lundi 22 juillet au siège de la BPCE par Patricia LANTZ, directeur du pôle Coverage, Michel DELVALLEE, directeur des grands comptes et Delphine BLAISE, responsable des marchés du secteur public, pour évoquer le financement des investissements de la Polynésie française.
Rencontre avec la BPCE
La situation d’intervention de la BPCE auprès de plusieurs entités publiques dont la société Tahiti Nui Ravaai, la SEM Te mau ito Api ou encore la société Air Tahiti Nui ont été évoquées de manière détaillée.
Actuellement troisième établissement prêteur auprès de la Polynésie, le groupe BPCE souhaite maintenir ses interventions auprès de la collectivité dans un contexte attendu de redressement de la situation des comptes publics.
Une évolution de la dette polynésienne vers un appel plus soutenu au marché obligataire a été évoqué, et la nécessité pour cela d’un relèvement de la notation de Standard and Poor’s, actuellement fixée à BB+, soit en catégorie dite spéculative.
Ce rééquilibrage de ses financements souhaité par le gouvernement polynésien pourrait ainsi s’opérer au travers de la société NATIXIS, filiale du groupe BPCE. Un entretien sur ce sujet avait déjà eu lieu la semaine précédente.
Rencontre avec HSBC
Le lendemain, mardi 23 juillet, le vice-président a été reçu au siège parisien de la banque internationale HSBC pour évoquer les conditions de mise en place d’un emprunt obligataire par tranches pour la période 2013- 2015.
Les représentants de la banque, M. Philippe TAPIE, directeur exécutif, Pierre SORBETS, directeur exécutif pour les marchés publics et Jérôme PELLET, directeur, marché de capitaux ont exprimé leur satisfaction dans la mise en œuvre rapide de la récente réforme fiscale adoptée le 13 juillet dernier par l’Assemblée de la Polynésie française et dans le redressement des comptes publics qui devrait en découler dès l’année 2014.
Plusieurs propositions d’interventions au travers du marché obligataire seront effectuées dans les semaines à venir, indépendamment de la mise en place prévue en septembre prochain de la première tranche de 50 millions d’euros (6 milliards FCFP) destinée au bouclage du financements des investissements de notre collectivité pour l’exercice 2013.
Ces propositions rejoignent la volonté du gouvernement polynésien de diversifier la provenance de ses financements en accroissant significativement ses appels au marché financier, dans un contexte de désintermédiation accentuée du financement des collectivités locales.
Rencontre avec la BPI
Ce même jour, le vice-président Nuihau LAUREY accompagné de Benoit THIRION a été reçu à 12h au siège de la BPI – Banque Publique d’Investissement par M. Joël DARNAUD, directeur exécutif et M. Michel FALOU, directeur régional Outre-mer.
La BPI qui regroupe aujourd’hui les activités d’OSEO, de la CDC Entreprises et de la FSI ne dispose pas à ce jour d’implantation en Polynésie française.
La question du financement des entreprises a été évoquée, dans un contexte d’allongement des délais de paiement par les payeurs publics, collectivité ou communes, de même que le soutien aux entreprises en difficulté.
Au terme de cet entretien, il a été décidé la mise en place avant la fin de l’année d’un partenariat avec la Polynésie française afin de proposer aux PME polynésiennes des prêts participatifs d’un montant inférieur à 6 millions FCFP d’une durée de 7 ans à des conditions bonifiées pour les aider à se développer ou à passer des situations conjoncturelles difficiles.
Rencontre avec la SFIL
Enfin, le vice-président a été reçu mardi 23 juillet à 16h au siège de la SFIL, société financière ayant repris les activités de l’ancienne banque Dexia, qui demeure aujourd’hui le principal prêteur de la Polynésie française avec un encours actuel de plus de 35 milliards FCFP.
M. Philippe MILLS, président directeur général de la SFIL, assisté de M. Stéphane Costa de Beauregard, directeur de la gestion de l’encours et de M. Frédéric Corbacho, directeur de l’ingénierie financière, a présenté la stratégie actuelle de la société en matière de financement des collectivités locales.
L’entretien a ainsi porté sur la récente opération de désensibilisation d’une partie de l’encours de la Polynésie française, qualifié de partie « toxique » compte tenu des paramètres négatifs de détermination des charges d’intérêts. Dans cette optique de réduction de l’encours « toxique », et compte tenu de la plus grande flexibilité financière attendue de la récente réforme fiscale, une prochaine opération de désensibilisation de l’encours actuel sera programmée dès le début de l’exercice budgétaire 2014. Cette opération viendra diminuer considérablement le niveau de cet encours faisant peser depuis plusieurs années un risque financier important sur les comptes publics de la collectivité.
Comme l’ensemble des interlocuteurs financiers rencontré durant cette mission, les dirigeants de la SFIL considèrent avec optimisme la situation financière de la Polynésie française compte tenu des mesures fiscales et budgétaires adoptées récemment par l’Assemblée de la Polynésie française.
Rencontre avec la BPCE
La situation d’intervention de la BPCE auprès de plusieurs entités publiques dont la société Tahiti Nui Ravaai, la SEM Te mau ito Api ou encore la société Air Tahiti Nui ont été évoquées de manière détaillée.
Actuellement troisième établissement prêteur auprès de la Polynésie, le groupe BPCE souhaite maintenir ses interventions auprès de la collectivité dans un contexte attendu de redressement de la situation des comptes publics.
Une évolution de la dette polynésienne vers un appel plus soutenu au marché obligataire a été évoqué, et la nécessité pour cela d’un relèvement de la notation de Standard and Poor’s, actuellement fixée à BB+, soit en catégorie dite spéculative.
Ce rééquilibrage de ses financements souhaité par le gouvernement polynésien pourrait ainsi s’opérer au travers de la société NATIXIS, filiale du groupe BPCE. Un entretien sur ce sujet avait déjà eu lieu la semaine précédente.
Rencontre avec HSBC
Le lendemain, mardi 23 juillet, le vice-président a été reçu au siège parisien de la banque internationale HSBC pour évoquer les conditions de mise en place d’un emprunt obligataire par tranches pour la période 2013- 2015.
Les représentants de la banque, M. Philippe TAPIE, directeur exécutif, Pierre SORBETS, directeur exécutif pour les marchés publics et Jérôme PELLET, directeur, marché de capitaux ont exprimé leur satisfaction dans la mise en œuvre rapide de la récente réforme fiscale adoptée le 13 juillet dernier par l’Assemblée de la Polynésie française et dans le redressement des comptes publics qui devrait en découler dès l’année 2014.
Plusieurs propositions d’interventions au travers du marché obligataire seront effectuées dans les semaines à venir, indépendamment de la mise en place prévue en septembre prochain de la première tranche de 50 millions d’euros (6 milliards FCFP) destinée au bouclage du financements des investissements de notre collectivité pour l’exercice 2013.
Ces propositions rejoignent la volonté du gouvernement polynésien de diversifier la provenance de ses financements en accroissant significativement ses appels au marché financier, dans un contexte de désintermédiation accentuée du financement des collectivités locales.
Rencontre avec la BPI
Ce même jour, le vice-président Nuihau LAUREY accompagné de Benoit THIRION a été reçu à 12h au siège de la BPI – Banque Publique d’Investissement par M. Joël DARNAUD, directeur exécutif et M. Michel FALOU, directeur régional Outre-mer.
La BPI qui regroupe aujourd’hui les activités d’OSEO, de la CDC Entreprises et de la FSI ne dispose pas à ce jour d’implantation en Polynésie française.
La question du financement des entreprises a été évoquée, dans un contexte d’allongement des délais de paiement par les payeurs publics, collectivité ou communes, de même que le soutien aux entreprises en difficulté.
Au terme de cet entretien, il a été décidé la mise en place avant la fin de l’année d’un partenariat avec la Polynésie française afin de proposer aux PME polynésiennes des prêts participatifs d’un montant inférieur à 6 millions FCFP d’une durée de 7 ans à des conditions bonifiées pour les aider à se développer ou à passer des situations conjoncturelles difficiles.
Rencontre avec la SFIL
Enfin, le vice-président a été reçu mardi 23 juillet à 16h au siège de la SFIL, société financière ayant repris les activités de l’ancienne banque Dexia, qui demeure aujourd’hui le principal prêteur de la Polynésie française avec un encours actuel de plus de 35 milliards FCFP.
M. Philippe MILLS, président directeur général de la SFIL, assisté de M. Stéphane Costa de Beauregard, directeur de la gestion de l’encours et de M. Frédéric Corbacho, directeur de l’ingénierie financière, a présenté la stratégie actuelle de la société en matière de financement des collectivités locales.
L’entretien a ainsi porté sur la récente opération de désensibilisation d’une partie de l’encours de la Polynésie française, qualifié de partie « toxique » compte tenu des paramètres négatifs de détermination des charges d’intérêts. Dans cette optique de réduction de l’encours « toxique », et compte tenu de la plus grande flexibilité financière attendue de la récente réforme fiscale, une prochaine opération de désensibilisation de l’encours actuel sera programmée dès le début de l’exercice budgétaire 2014. Cette opération viendra diminuer considérablement le niveau de cet encours faisant peser depuis plusieurs années un risque financier important sur les comptes publics de la collectivité.
Comme l’ensemble des interlocuteurs financiers rencontré durant cette mission, les dirigeants de la SFIL considèrent avec optimisme la situation financière de la Polynésie française compte tenu des mesures fiscales et budgétaires adoptées récemment par l’Assemblée de la Polynésie française.
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