PAPEETE, lundi 3 février 2014. La 11e édition du Fifo (Festival international du film documentaire océanien) ouvre officiellement ses portes au public ce mardi pour six jours de projections. Près d’une trentaine de films sont à découvrir jusqu’à dimanche soir, mais aussi des conférences et des rencontres avec les réalisateurs.
Wallès Kotra, président de l’association du Fifo, fondateur du festival éponyme peut s’enorgueillir d’avoir fait surgir de façon naturelle aujourd’hui ce qu’il appelle «l’image du Pacifique». Ce qui parait évident aujourd’hui, l’était beaucoup moins à ses débuts, rappelle le président du Fifo : «L’Océanie existe car les hommes de ce continent ont des projets et se rencontrent pour parler de l’Océanie» a-t-il déclaré hier matin en ouverture de la 11e édition de ce festival polynésien, carrefour de la culture et de l’expression océanienne. Le président du jury de cette édition, le réalisateur français Luc Jacquet a fait écho à cette déclaration, «chaque film est un point de vue, un regard ouvert sur le monde» promettant un jury attentif et impartial à juger les 14 films en compétition en provenance de Polynésie Française, de Nouvelle-Calédonie, de Nouvelle Zélande, d’Australie, de Papouasie Nouvelle Guinée, des Etats-Unis ou du Royaume-Uni.
Les festivaliers pourront aussi apprécier tout au long de la semaine, 19 autres films, hors compétition qui sont d’autres expressions de ce continent. Selon le comité de sélection ce 11e Fifo est porteur de revendications identitaires ou met en lumière des thèmes comme la défense de l’environnement, de la culture et des langues de ce continent. La preuve sans doute que le continent océanien veut porter son propre message au monde. Au total, une centaine de projections est programmée jusqu’à dimanche soir à la Maison de la culture, pas question d’y échapper.
Wallès Kotra, président de l’association du Fifo, fondateur du festival éponyme peut s’enorgueillir d’avoir fait surgir de façon naturelle aujourd’hui ce qu’il appelle «l’image du Pacifique». Ce qui parait évident aujourd’hui, l’était beaucoup moins à ses débuts, rappelle le président du Fifo : «L’Océanie existe car les hommes de ce continent ont des projets et se rencontrent pour parler de l’Océanie» a-t-il déclaré hier matin en ouverture de la 11e édition de ce festival polynésien, carrefour de la culture et de l’expression océanienne. Le président du jury de cette édition, le réalisateur français Luc Jacquet a fait écho à cette déclaration, «chaque film est un point de vue, un regard ouvert sur le monde» promettant un jury attentif et impartial à juger les 14 films en compétition en provenance de Polynésie Française, de Nouvelle-Calédonie, de Nouvelle Zélande, d’Australie, de Papouasie Nouvelle Guinée, des Etats-Unis ou du Royaume-Uni.
Les festivaliers pourront aussi apprécier tout au long de la semaine, 19 autres films, hors compétition qui sont d’autres expressions de ce continent. Selon le comité de sélection ce 11e Fifo est porteur de revendications identitaires ou met en lumière des thèmes comme la défense de l’environnement, de la culture et des langues de ce continent. La preuve sans doute que le continent océanien veut porter son propre message au monde. Au total, une centaine de projections est programmée jusqu’à dimanche soir à la Maison de la culture, pas question d’y échapper.
AU PROGRAMME CE MARDI 4 FEVIER
Parmi les temps forts de ce mardi, notez la présence du réalisateur à 18 heures pour le film, "La compagnie des archipels". Ce film de 52 minutes de Jacques Navarro-Rovira, tourné en 2012 raconte l'histoire de 8 gendarmes des Tuamotu. Il sera présent à la projection du film à 18 heures au Grand Théâtre de la Maison de la culture.
A suivre également ce mardi, deux conférences animées par des membres du jury du Fifo, qui se dérouleront sous le chapiteau du festival.
A 15h30 : Directeur du Centre Culturel Tjiabou, poète et linguiste, Emmanuel Tjibaou proposera une intervention sur l’Art Océanien ; à 17 heures, Witi Ihimaera écrivain majeur de Nouvelle-Zélande, pionnier de la littérature autochtone, parlera d’œuvres et de productions.
Pour consulter le programme complet du Fifo 2014, CLIQUER ICI
A suivre également ce mardi, deux conférences animées par des membres du jury du Fifo, qui se dérouleront sous le chapiteau du festival.
A 15h30 : Directeur du Centre Culturel Tjiabou, poète et linguiste, Emmanuel Tjibaou proposera une intervention sur l’Art Océanien ; à 17 heures, Witi Ihimaera écrivain majeur de Nouvelle-Zélande, pionnier de la littérature autochtone, parlera d’œuvres et de productions.
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