PAPEETE, le 7 septembre 2016 - Un père de famille est jugé depuis ce mercredi matin par les jurés. Il avait été dénoncé par la petite qui n'en pouvait plus.
Le procès d'un père de famille accusé d'agressions sexuelles sur fille alors qu'elle n'avait que 9 ans s'est ouvert ce matin devant la cour d'assises de la Polynésie française. Les débats dureront deux jours. Les faits remontent à 2012-2013 et avaient été dénoncés par la petite victime à sa mère, épuisée : "J'en ai marre, dit à papa d'arrêter de me toucher". Et l'enfant de raconter comment son géniteur profitait de la moindre des absences de la maman pour se glisser dans son lit et lui coller son sexe contre le sien.
La maman avait d'ailleurs surpris le père dans le lit de sa fille. Ce dernier l'avait aussi agressée dans le jardin de la maison familiale et dans la voiture quand il l'a ramenait du catéchisme, a rapporté la petite victime lors de l'enquête. Il lui arrivait aussi de se caresser devant elle quand elle regardait la télé.
L'accusé n'a pas de casier judiciaire. Il a d'abord nié les faits en garde à vue avant de finir par admettre que sa fille disait vrai. Il est détenu depuis octobre 2013. La cour rendra son arrêt ce jeudi dans la journée.
Le procès d'un père de famille accusé d'agressions sexuelles sur fille alors qu'elle n'avait que 9 ans s'est ouvert ce matin devant la cour d'assises de la Polynésie française. Les débats dureront deux jours. Les faits remontent à 2012-2013 et avaient été dénoncés par la petite victime à sa mère, épuisée : "J'en ai marre, dit à papa d'arrêter de me toucher". Et l'enfant de raconter comment son géniteur profitait de la moindre des absences de la maman pour se glisser dans son lit et lui coller son sexe contre le sien.
La maman avait d'ailleurs surpris le père dans le lit de sa fille. Ce dernier l'avait aussi agressée dans le jardin de la maison familiale et dans la voiture quand il l'a ramenait du catéchisme, a rapporté la petite victime lors de l'enquête. Il lui arrivait aussi de se caresser devant elle quand elle regardait la télé.
L'accusé n'a pas de casier judiciaire. Il a d'abord nié les faits en garde à vue avant de finir par admettre que sa fille disait vrai. Il est détenu depuis octobre 2013. La cour rendra son arrêt ce jeudi dans la journée.
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