PAPEETE, lundi 27 janvier 2014. C’est au terme d’investigations minutieuses faites de filatures, de surveillance, d’enquêtes sur le train de vie des protagonistes du réseau et ce durant plusieurs mois, que les policiers de la DSP ont interpellé mardi dernier sept personnes, impliquées à des degrés divers, dans ce trafic de cocaïne entre le Panama et Tahiti qui transitait par Les Marquises.
Certains participants n’étaient que des consommateurs, d’autres étaient des revendeurs, mais dans le lot, les enquêteurs de la sûreté urbaine de Papeete et des policiers du GIR (groupement d’intervention régionale) ont aussi mis la main sur la tête du réseau. Cet homme d’une quarantaine d’années, résident et commerçant aux Marquises, est celui qui a transporté la drogue en embarquant sur un voilier de 50 pieds depuis Panama City. Il avait rallié les Marquises en avril 2013 avec sa précieuse cargaison, après une traversée de l’océan Pacifique qui a duré près d’un mois et demi.
La cocaïne a ensuite été revendue à Tahiti par un restaurateur, lui-même gros consommateur de stupéfiants, et quelques-uns de ses employés. Interpellés mardi dernier, sept personnes ont été placées en garde à vue jusqu’à vendredi. Au cours de la garde à vue, les connexions des différents acteurs ont été établies ou confirmées. Au final, les acteurs de ce trafic de stupéfiants ont admis avoir écoulé sur Tahiti depuis le mois d’avril dernier environ 400 grammes de cocaïne, soit un chiffre d’affaires estimé de 14 millions de Fcfp.
La tête de réseau est désormais sous les verrous à Nuutania, en détention provisoire. L’homme a été mis en examen pour trafic de stupéfiants, importation, acquisition, transport, offre, cession et usage de drogue. Le restaurateur a été laissé libre mais placé sous contrôle judiciaire. Ce n’est pas la première fois que la DSP démantèle un réseau international de stupéfiants, mais cette affaire avec une importation de la cocaïne par voilier, en provenance de Panama, est une nouveauté.
Aucune saisie de drogue n’a pu être effectuée. La totalité de la cargaison avait déjà été écoulée lorsque les enquêteurs, ayant accumulé suffisamment de faits et de preuves sur chacun des participants ont procédé aux interpellations. En revanche, le réseau qui s’était créé autour de cette cargaison panaméenne de cocaïne a été totalement démantelé.
Certains participants n’étaient que des consommateurs, d’autres étaient des revendeurs, mais dans le lot, les enquêteurs de la sûreté urbaine de Papeete et des policiers du GIR (groupement d’intervention régionale) ont aussi mis la main sur la tête du réseau. Cet homme d’une quarantaine d’années, résident et commerçant aux Marquises, est celui qui a transporté la drogue en embarquant sur un voilier de 50 pieds depuis Panama City. Il avait rallié les Marquises en avril 2013 avec sa précieuse cargaison, après une traversée de l’océan Pacifique qui a duré près d’un mois et demi.
La cocaïne a ensuite été revendue à Tahiti par un restaurateur, lui-même gros consommateur de stupéfiants, et quelques-uns de ses employés. Interpellés mardi dernier, sept personnes ont été placées en garde à vue jusqu’à vendredi. Au cours de la garde à vue, les connexions des différents acteurs ont été établies ou confirmées. Au final, les acteurs de ce trafic de stupéfiants ont admis avoir écoulé sur Tahiti depuis le mois d’avril dernier environ 400 grammes de cocaïne, soit un chiffre d’affaires estimé de 14 millions de Fcfp.
La tête de réseau est désormais sous les verrous à Nuutania, en détention provisoire. L’homme a été mis en examen pour trafic de stupéfiants, importation, acquisition, transport, offre, cession et usage de drogue. Le restaurateur a été laissé libre mais placé sous contrôle judiciaire. Ce n’est pas la première fois que la DSP démantèle un réseau international de stupéfiants, mais cette affaire avec une importation de la cocaïne par voilier, en provenance de Panama, est une nouveauté.
Aucune saisie de drogue n’a pu être effectuée. La totalité de la cargaison avait déjà été écoulée lorsque les enquêteurs, ayant accumulé suffisamment de faits et de preuves sur chacun des participants ont procédé aux interpellations. En revanche, le réseau qui s’était créé autour de cette cargaison panaméenne de cocaïne a été totalement démantelé.
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