WELLINGTON, lundi 20 janvier 2014 (Flash d’Océanie) – Un nouveau groupe de cétacés, le troisième en deux semaines, s’est échoué ce week-end en Nouvelle-Zélande, une fois de plus dans une baie de l’île du Nord connue sous le nom de « Farewell Spit ».
Ce groupe, de plus d’une soixantaine de globicéphales (espèce également connue sous le nom de baleines pilotes), s’était échoué dimanche et, depuis, une centaine de volontaires et employés des services gouvernementaux de l’environnement s’étaient relayés sur place pour tenter de guider les cétacés vers le chemin du large.
Lundi, à la faveur de la marée haute, une grande majorité des mammifères avait pu rejoindre le large, depuis la plage de Puponga, rapporte la presse locale.
Mardi 14 janvier 2014, le précédent groupe d’une douzaine de cétacés s’était déjà échoué.
Outre les individus morts rapidement après cet échouage, les neuf autres ont dû être euthanasiés.
Quelques jours auparavant, un événement similaire, au même endroit, s’était soldé par la mort de tous ces globicéphales, une quarantaine d’individus de la même espèce qui s’était échouée au même endroit.
Une douzaine d’entre eux étaient rapidement mortes.
Le reste des cétacés avait dû être euthanasié.
En novembre 2012, toujours au même endroit, 28 globicéphales, échoués, avaient eux aussi trouvé la mort au même endroit.
Et en janvier 2012, plus de 80 d’un troupeau de 99 animaux de la même espèce périssaient dans la même zone.
Selon les services de l’environnement, ces échouages en série à cet endroit pourraient trouver leur explication du fait de la configuration de cette passe de Farewell Spit.
Autre thèse régulièrement avancée : l’activité humaine et l’émission d’ondes qui désorienteraient les cétacés et leur système de sonar naturel.
Selon les services de l’environnement, la topographie de la zone de Farewell Spit est considérée comme un facteur contribuant à désorienter et « troubler » les cétacés.
Selon les statistiques officielles, le nombre annuel moyen de cétacés échoués sur les plages néo-zélandaises est de 85, la plupart durant l’été austral.
La plupart sont considérés comme des individus « solitaires », des espèces de dauphins communs ou de baleines « pygmées ».
Pour les échouages de groupe, c’est l’espèce des baleines pilotes (globicéphales) qui est la plus fréquente.
Le plus impressionnant de ces échouages en masse remonte à 1918, sur les îles Chatham, avec un millier d’individus comptés à l’époque.
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Ce groupe, de plus d’une soixantaine de globicéphales (espèce également connue sous le nom de baleines pilotes), s’était échoué dimanche et, depuis, une centaine de volontaires et employés des services gouvernementaux de l’environnement s’étaient relayés sur place pour tenter de guider les cétacés vers le chemin du large.
Lundi, à la faveur de la marée haute, une grande majorité des mammifères avait pu rejoindre le large, depuis la plage de Puponga, rapporte la presse locale.
Mardi 14 janvier 2014, le précédent groupe d’une douzaine de cétacés s’était déjà échoué.
Outre les individus morts rapidement après cet échouage, les neuf autres ont dû être euthanasiés.
Quelques jours auparavant, un événement similaire, au même endroit, s’était soldé par la mort de tous ces globicéphales, une quarantaine d’individus de la même espèce qui s’était échouée au même endroit.
Une douzaine d’entre eux étaient rapidement mortes.
Le reste des cétacés avait dû être euthanasié.
En novembre 2012, toujours au même endroit, 28 globicéphales, échoués, avaient eux aussi trouvé la mort au même endroit.
Et en janvier 2012, plus de 80 d’un troupeau de 99 animaux de la même espèce périssaient dans la même zone.
Selon les services de l’environnement, ces échouages en série à cet endroit pourraient trouver leur explication du fait de la configuration de cette passe de Farewell Spit.
Autre thèse régulièrement avancée : l’activité humaine et l’émission d’ondes qui désorienteraient les cétacés et leur système de sonar naturel.
Selon les services de l’environnement, la topographie de la zone de Farewell Spit est considérée comme un facteur contribuant à désorienter et « troubler » les cétacés.
Selon les statistiques officielles, le nombre annuel moyen de cétacés échoués sur les plages néo-zélandaises est de 85, la plupart durant l’été austral.
La plupart sont considérés comme des individus « solitaires », des espèces de dauphins communs ou de baleines « pygmées ».
Pour les échouages de groupe, c’est l’espèce des baleines pilotes (globicéphales) qui est la plus fréquente.
Le plus impressionnant de ces échouages en masse remonte à 1918, sur les îles Chatham, avec un millier d’individus comptés à l’époque.
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