Communiqué: Dans le cadre du programme de démoustication visant à éradiquer l’épidémie de Zika en Polynésie, une troisième réunion s’est tenue, lundi, sous l’égide du ministère de l’agriculture, avec le service du développement rural (SDR), la direction de la santé et les apiculteurs. Cette réunion avait pour but, après des tests réalisés sur des ruches en conditions réelles, d’apporter aux apiculteurs des préconisations pour protéger leur activité lors de la mise en œuvre de la lutte anti-vectorielle.
Ces conseils seront d’autant plus efficaces que préalablement, une géo-localisation des ruchers aura été possible suite à leur déclaration auprès du SDR.
En accord avec les services techniques, il a été convenu que, dans la mesure du possible, dans les zones de plus forte densité apicole, les traitements soient réalisés le plus tôt possible le matin (aux alentours de 6 heures), quand les abeilles sont toujours dans les ruches, afin de pouvoir les claustrer et qu’elles subissent moins les impacts négatifs liés à la chaleur.
En parallèle, les services techniques s’engagent à informer les apiculteurs au minimum 48 heures à l’avance. Une première technique pour protéger les ruches consiste en leur calfeutrage temporaire pour empêcher tout contact entre le produit de traitement et les abeilles, selon la méthodologie suivante :
1) Le jour de la pulvérisation, fermer l’entrée des ruches avant le lever du soleil à l’aide d’une bande de mousse humidifiée.
2) Placer les ruches à l’ombre.
3) Si possible, augmenter le volume de la ruche en rajoutant une hausse vide.
4) Fermer le fond de la ruche à l’aide d’un plancher plein.
5) Maintenir les abeilles enfermées jusqu’à 2 heures après la pulvérisation.
En outre, il est également possible de déplacer ses ruches sur des « terrains refuges » communaux, qui sont actuellement en cours d’identification par les communes. Un « apiculteur référent » volontaire au sein de chaque commune se chargera de la coordination logistique et de la communication entre les communes et les professionnels du secteur apicole.
Ces conseils seront d’autant plus efficaces que préalablement, une géo-localisation des ruchers aura été possible suite à leur déclaration auprès du SDR.
En accord avec les services techniques, il a été convenu que, dans la mesure du possible, dans les zones de plus forte densité apicole, les traitements soient réalisés le plus tôt possible le matin (aux alentours de 6 heures), quand les abeilles sont toujours dans les ruches, afin de pouvoir les claustrer et qu’elles subissent moins les impacts négatifs liés à la chaleur.
En parallèle, les services techniques s’engagent à informer les apiculteurs au minimum 48 heures à l’avance. Une première technique pour protéger les ruches consiste en leur calfeutrage temporaire pour empêcher tout contact entre le produit de traitement et les abeilles, selon la méthodologie suivante :
1) Le jour de la pulvérisation, fermer l’entrée des ruches avant le lever du soleil à l’aide d’une bande de mousse humidifiée.
2) Placer les ruches à l’ombre.
3) Si possible, augmenter le volume de la ruche en rajoutant une hausse vide.
4) Fermer le fond de la ruche à l’aide d’un plancher plein.
5) Maintenir les abeilles enfermées jusqu’à 2 heures après la pulvérisation.
En outre, il est également possible de déplacer ses ruches sur des « terrains refuges » communaux, qui sont actuellement en cours d’identification par les communes. Un « apiculteur référent » volontaire au sein de chaque commune se chargera de la coordination logistique et de la communication entre les communes et les professionnels du secteur apicole.
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