NOUMÉA, 9 janvier 2014 (AFP) - Le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie a placé jeudi 15 communes de l'archipel en alerte rouge, en raison des risques extrêmes de feux de forêt et a interdit tout feu à usage non domestique.
Douze de ces communes se situent sur la côte ouest de la Nouvelle-Calédonie, terre de grandes plaines à savane, frappée par la sécheresse.
Jeudi, deux hélicoptères bombardiers d'eau et une quinzaine de pompiers au sol étaient mobilisés à Boulouparis, à 75 km au nord de Nouméa, pour tenter de maitriser un gigantesque incendie.
"Le feu progresse à grande vitesse, il y a 35 noeuds de vent. C'est catastrophique, mille hectares sont carbonisés et le feu n'est pas du tout maitrisé. On n'a pas assez de moyens", a déclaré à l'AFP Jean-Paul Ruzé, quatrième adjoint au maire.
Il a également indiqué que deux propriétés agricoles avaient été durement touchées et que d'autres allaient se retrouver menacées. La tribu kanake de Ouitchambo, située dans la zone, devrait être épargnée, mais "le feu ne va pas passer loin".
Selon M.Ruzé, les deux départs de feu de la commune sont d'origine criminelle.
Dans un communiqué, le président du gouvernement a appelé "à la vigilance citoyenne de chacun et au respect des consignes afin d'éviter tout comportement concourant à l'augmentation du risque d'incendie".
"Depuis mi-décembre, il n'a pas plu sur la côte ouest où les vents que nous connaissons actuellement contribuent à assécher les sols", a déclaré à l'AFP, Patrice Lechanteur, responsable des prévisions à Météo France.
La formation d'un puissant anticyclone en mer de Tasmane, entre l'Australie et la Nouvelle-Zélande, génère des vents entre 20 et 25 noeuds avec des rafales à 35 noeuds, tandis que le mercure grimpe jusqu'à 35°.
Douze de ces communes se situent sur la côte ouest de la Nouvelle-Calédonie, terre de grandes plaines à savane, frappée par la sécheresse.
Jeudi, deux hélicoptères bombardiers d'eau et une quinzaine de pompiers au sol étaient mobilisés à Boulouparis, à 75 km au nord de Nouméa, pour tenter de maitriser un gigantesque incendie.
"Le feu progresse à grande vitesse, il y a 35 noeuds de vent. C'est catastrophique, mille hectares sont carbonisés et le feu n'est pas du tout maitrisé. On n'a pas assez de moyens", a déclaré à l'AFP Jean-Paul Ruzé, quatrième adjoint au maire.
Il a également indiqué que deux propriétés agricoles avaient été durement touchées et que d'autres allaient se retrouver menacées. La tribu kanake de Ouitchambo, située dans la zone, devrait être épargnée, mais "le feu ne va pas passer loin".
Selon M.Ruzé, les deux départs de feu de la commune sont d'origine criminelle.
Dans un communiqué, le président du gouvernement a appelé "à la vigilance citoyenne de chacun et au respect des consignes afin d'éviter tout comportement concourant à l'augmentation du risque d'incendie".
"Depuis mi-décembre, il n'a pas plu sur la côte ouest où les vents que nous connaissons actuellement contribuent à assécher les sols", a déclaré à l'AFP, Patrice Lechanteur, responsable des prévisions à Météo France.
La formation d'un puissant anticyclone en mer de Tasmane, entre l'Australie et la Nouvelle-Zélande, génère des vents entre 20 et 25 noeuds avec des rafales à 35 noeuds, tandis que le mercure grimpe jusqu'à 35°.
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