Le Haut-Commissaire de la République Lionel Beffre entouré de son Secrétaire général Gilles Cantal et de Benjamin Lancar présentait ses vœux à la presse ce mercredi matin autour d’un petit déjeuner convivial et détendu.
Après avoir constaté que les bases d’un dialogue confortable et de confiance étaient installées avec le Pays, le Haut-commissaire s’est félicité du déblocage des fonds d’emprunt réalisé en fin d’année. « Cela va permettre de favoriser la relance économique et nous veillerons à présent à suivre la commande publique avec rigueur. »
Rappelant qu’une année électorale se profile engendrant de nombreuses périodes de réserve en matière de communication, le Haut Commissaire a rappelé que cela n’empêcherait pas pour autant les dossiers de se concrétiser. « Ce n’est pas parce que nous ne pourrons plus communiquer, par respect du principe de neutralité qui nous incombe, que nous ne travaillerons pas. » En effet, élection ou pas, il y a des échéances à respecter, pour la contractualisation du contrat de projet, ou encore les critères de répartition du FIP, qui doivent être débattus en partenariat avec le SPC et le Pays.
Interrogé sur le budget du RSPF qui a été voté en déséquilibre et pour lequel le soutien de l’Etat a été sollicité, Lionel Beffre a précisé qu’il attendait le rapport de mission de l’IGASS. La mise en place éventuelle d’un second protocole de redressement économique est adossée aux précisions que révèlera ce rapport.
Pour le Haut-commissaire, le rapport de l’IGASS fait suite au volet social du rapport Bolliet. Il s’agit de constater et d’analyser ce qui a été fait, ou pas, depuis la publication du rapport Bolliet en 2010. « Des propositions seront faites par les experts, et des dispositifs seront alors adaptés. » a-t-il précisé, « je souhaite que cela aille vite, certes, mais cela ne peut se faire en quelques semaines ».
La question de la sécurité a également été abordée. Le Haut-commissaire souhaite que les premiers contrôles routiers liés à la consommation de stupéfiants aient lieu avant la fin du mois de janvier. Il a déploré l’absence de fourrière qui permettrait en outre la confiscation du véhicule en cas de délit grave. La priorité des actions concerne les deux roues, les jeunes et les addictions.
En matière de délinquance, Lionel Beffre a constaté une augmentation des délits (vols, agressions) en 2013 contre laquelle il faudra lutter, a-t-il précisé, rappelant toutefois que les actions sur le terrain, effectuées tant par la gendarmerie que par la police, avaient été plus nombreuses et plus fructueuses, le taux de résolution des affaires étant plutôt satisfaisant en Polynésie.
Interrogé sur le voyage en Chine effectué par le Président Gaston Flosse et plus particulièrement sur la question des visas, le Haut-commissaire estime qu’il est louable que le Pays cherche à faire venir des investisseurs afin de favoriser la relance économique, il ne constate, en revanche aucune anomalie dans le traitement des visas. « Le nombre de documents demandés a considérablement diminué ces dernières années, et la délivrance des visas ne nécessite qu’une dizaine de jours en basse saison, et il semble normal que l’on s’enquiert de savoir si le ressortissant aura les moyens de financer l’intégralité de son séjour en Polynésie. » Il n’y a pas d’exception, estime-t-il, et il pourrait s’agir là, selon lui, d’un argument de négociation.
Pour le Haut-commissaire, l’année 2014 sera dominée par l’actualité électorale. Il s’agira de veiller au bon usage des attributions financières, vouées en priorité à la relance économique du Pays, par le biais de la commande publique. Lionel Beffre se dit satisfait des relations Etat-Pays qu’il qualifie de relation de confiance.
Après avoir constaté que les bases d’un dialogue confortable et de confiance étaient installées avec le Pays, le Haut-commissaire s’est félicité du déblocage des fonds d’emprunt réalisé en fin d’année. « Cela va permettre de favoriser la relance économique et nous veillerons à présent à suivre la commande publique avec rigueur. »
Rappelant qu’une année électorale se profile engendrant de nombreuses périodes de réserve en matière de communication, le Haut Commissaire a rappelé que cela n’empêcherait pas pour autant les dossiers de se concrétiser. « Ce n’est pas parce que nous ne pourrons plus communiquer, par respect du principe de neutralité qui nous incombe, que nous ne travaillerons pas. » En effet, élection ou pas, il y a des échéances à respecter, pour la contractualisation du contrat de projet, ou encore les critères de répartition du FIP, qui doivent être débattus en partenariat avec le SPC et le Pays.
Interrogé sur le budget du RSPF qui a été voté en déséquilibre et pour lequel le soutien de l’Etat a été sollicité, Lionel Beffre a précisé qu’il attendait le rapport de mission de l’IGASS. La mise en place éventuelle d’un second protocole de redressement économique est adossée aux précisions que révèlera ce rapport.
Pour le Haut-commissaire, le rapport de l’IGASS fait suite au volet social du rapport Bolliet. Il s’agit de constater et d’analyser ce qui a été fait, ou pas, depuis la publication du rapport Bolliet en 2010. « Des propositions seront faites par les experts, et des dispositifs seront alors adaptés. » a-t-il précisé, « je souhaite que cela aille vite, certes, mais cela ne peut se faire en quelques semaines ».
La question de la sécurité a également été abordée. Le Haut-commissaire souhaite que les premiers contrôles routiers liés à la consommation de stupéfiants aient lieu avant la fin du mois de janvier. Il a déploré l’absence de fourrière qui permettrait en outre la confiscation du véhicule en cas de délit grave. La priorité des actions concerne les deux roues, les jeunes et les addictions.
En matière de délinquance, Lionel Beffre a constaté une augmentation des délits (vols, agressions) en 2013 contre laquelle il faudra lutter, a-t-il précisé, rappelant toutefois que les actions sur le terrain, effectuées tant par la gendarmerie que par la police, avaient été plus nombreuses et plus fructueuses, le taux de résolution des affaires étant plutôt satisfaisant en Polynésie.
Interrogé sur le voyage en Chine effectué par le Président Gaston Flosse et plus particulièrement sur la question des visas, le Haut-commissaire estime qu’il est louable que le Pays cherche à faire venir des investisseurs afin de favoriser la relance économique, il ne constate, en revanche aucune anomalie dans le traitement des visas. « Le nombre de documents demandés a considérablement diminué ces dernières années, et la délivrance des visas ne nécessite qu’une dizaine de jours en basse saison, et il semble normal que l’on s’enquiert de savoir si le ressortissant aura les moyens de financer l’intégralité de son séjour en Polynésie. » Il n’y a pas d’exception, estime-t-il, et il pourrait s’agir là, selon lui, d’un argument de négociation.
Pour le Haut-commissaire, l’année 2014 sera dominée par l’actualité électorale. Il s’agira de veiller au bon usage des attributions financières, vouées en priorité à la relance économique du Pays, par le biais de la commande publique. Lionel Beffre se dit satisfait des relations Etat-Pays qu’il qualifie de relation de confiance.
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