Le centre d’hébergement « Te Haapuraa », situé dans la vallée de Tipaerui, à Papeete, a accueilli ce mardi matin plusieurs dizaines de personnes sans domicile fixe pour célébrer Noël autour d’un brunch copieux et convivial, en présence de la Ministre de la Solidarité, Manolita LY, et du président de l’association Te Torea, Frederic KWONG.
Outre les personnes déjà présentes au centre, plusieurs sans domicile fixe vivant dans les rues de Papeete ont été amenés sur place par un bus de la commune. Plusieurs partenaires publics (Circonscription d’action sociale de Papeete, Division des Etablissements des Affaires Sociales, Direction de l’Equipement, Service social de la mairie de Papeete) mais aussi le monde associatif (Association ‘Emauta, Foyers d’accueil «Le Bon Samaritain», «Te Arata», «La Samaritaine», Foyer «Pu o te Hau», Union Polynésienne de la Jeunesse) ont uni leurs efforts pour faire de ce brunch, avec café, firifiri ou encore poisson cru, un succès.
La Ministre de la Solidarité s’est félicitée de cette « belle initiative pleine d’humanité » qui a permis à des personnes vivant actuellement dans la rue de retrouver un « petit moment de sourire et de bonheur » ainsi que la « chaleur et la convivialité des Noëls ». Elle a rappelé que la création d’un centre de nuit, à Tipaerui, pour les SDF, et ce très rapidement après la formation du Gouvernement, avait été rendue possible grâce à la volonté et l’impulsion personnelle du Président de la Polynésie française, Gaston FLOSSE.
Petit à petit, les effectifs reçus dans ce centre d’hébergement d’urgence (CHU) ont progressé, au fur et à mesure que le bouche à oreille fonctionnait, et le 29 octobre dernier, le chiffre d’accueil maximal a été atteint avec 50 pensionnaires. Ce chiffre n’est pas atteint chaque soir fort heureusement mais il prouve s’il en était besoin que le centre d’accueil de nuit a montré très vite sa très grande utilité dans le paysage de la grande détresse sociale qui affecte nos concitoyens les plus fragiles, a souligné Manolita LY.
Pour améliorer le confort de ce centre, des travaux complémentaires ont été engagés en matière d’évacuation des eaux. Deux autres chantiers vont l’être très prochainement au niveau de la cuisine avec l’installation d’une hotte aspirante ou bien encore avec l’aménagement de la mezzanine afin de créer une salle de réunion pour les éducateurs et les personnels de service ainsi qu’une chambre de veille.
« Cette amélioration constante de l’installation porte ses fruits, y compris auprès de certains de nos pensionnaires qui commencent à s’y sentir bien comme dans leur propre chez soi enfin retrouvé (…) Pour autant, il a toujours été très clair dans l’esprit de Président, dans celui de l’association Te Torea et du mien, que le séjour au CHU n’est pas une fin en soi mais constitue bien la plate-forme, le socle d’une reconstruction volontaire de soi qui passera par des voies aussi diverses que la resocialisation par l’activité, voire par un travail rémunéré pour certains d’entre vous, l’accès aux soins, le renouement avec des liens familiaux disparus ou distendus, voire l’accès à un logement autonome », a également précisé la Ministre de la Solidarité.
La vocation de ce centre de nuit est ainsi bien de nouer des liens étroits avec le centre de jour pour permettre petit à petit aux pensionnaires de trouver une activité utile et valorisante au travers des différents ateliers proposés comme le tressage, la couture, la cuisine économique, et peut-être bientôt également l’agriculture ou bien la pêche.
Outre les personnes déjà présentes au centre, plusieurs sans domicile fixe vivant dans les rues de Papeete ont été amenés sur place par un bus de la commune. Plusieurs partenaires publics (Circonscription d’action sociale de Papeete, Division des Etablissements des Affaires Sociales, Direction de l’Equipement, Service social de la mairie de Papeete) mais aussi le monde associatif (Association ‘Emauta, Foyers d’accueil «Le Bon Samaritain», «Te Arata», «La Samaritaine», Foyer «Pu o te Hau», Union Polynésienne de la Jeunesse) ont uni leurs efforts pour faire de ce brunch, avec café, firifiri ou encore poisson cru, un succès.
La Ministre de la Solidarité s’est félicitée de cette « belle initiative pleine d’humanité » qui a permis à des personnes vivant actuellement dans la rue de retrouver un « petit moment de sourire et de bonheur » ainsi que la « chaleur et la convivialité des Noëls ». Elle a rappelé que la création d’un centre de nuit, à Tipaerui, pour les SDF, et ce très rapidement après la formation du Gouvernement, avait été rendue possible grâce à la volonté et l’impulsion personnelle du Président de la Polynésie française, Gaston FLOSSE.
Petit à petit, les effectifs reçus dans ce centre d’hébergement d’urgence (CHU) ont progressé, au fur et à mesure que le bouche à oreille fonctionnait, et le 29 octobre dernier, le chiffre d’accueil maximal a été atteint avec 50 pensionnaires. Ce chiffre n’est pas atteint chaque soir fort heureusement mais il prouve s’il en était besoin que le centre d’accueil de nuit a montré très vite sa très grande utilité dans le paysage de la grande détresse sociale qui affecte nos concitoyens les plus fragiles, a souligné Manolita LY.
Pour améliorer le confort de ce centre, des travaux complémentaires ont été engagés en matière d’évacuation des eaux. Deux autres chantiers vont l’être très prochainement au niveau de la cuisine avec l’installation d’une hotte aspirante ou bien encore avec l’aménagement de la mezzanine afin de créer une salle de réunion pour les éducateurs et les personnels de service ainsi qu’une chambre de veille.
« Cette amélioration constante de l’installation porte ses fruits, y compris auprès de certains de nos pensionnaires qui commencent à s’y sentir bien comme dans leur propre chez soi enfin retrouvé (…) Pour autant, il a toujours été très clair dans l’esprit de Président, dans celui de l’association Te Torea et du mien, que le séjour au CHU n’est pas une fin en soi mais constitue bien la plate-forme, le socle d’une reconstruction volontaire de soi qui passera par des voies aussi diverses que la resocialisation par l’activité, voire par un travail rémunéré pour certains d’entre vous, l’accès aux soins, le renouement avec des liens familiaux disparus ou distendus, voire l’accès à un logement autonome », a également précisé la Ministre de la Solidarité.
La vocation de ce centre de nuit est ainsi bien de nouer des liens étroits avec le centre de jour pour permettre petit à petit aux pensionnaires de trouver une activité utile et valorisante au travers des différents ateliers proposés comme le tressage, la couture, la cuisine économique, et peut-être bientôt également l’agriculture ou bien la pêche.
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