Dans le cadre de la mise en place du programme de démoustication piloté par le ministère de la santé, le Ministre de l’agriculture Thomas MOUTAME a organisé une réunion ce vendredi 20 Décembre entre les apiculteurs et le Service du Développement Rural.
En effet, le Ministre porte une vigilance particulière à la préservation, autant que possible, des faapu « bio » et des abeilles et ceci sur l’ensemble de nos archipels. C’est dans cet objectif que plusieurs réunions ont été organisées tout au long de la semaine passée avec les professionnels concernés et le service du développement rural, afin d’évaluer les risques potentiels et de définir les mesures spécifiques à prendre pour les minimiser. Ces modes opératoires ont été validés par l’ensemble des professionnels consultés. Les équipes de démoustication intégreront des agents du service du développement rural, qui veilleront au bon respect des procédures retenues.
En ce qui concerne l’agriculture biologique, des cartes seront distribuées aux communes, pour permettre la localisation précise des exploitations et la mise en place d’une zone de non traitement, dite zone d’exclusion, autour de ces parcelles. L’association Bio Fetia et les agents du service du développement rural assureront le relais de l’information sur le terrain, les agriculteurs bio étant chargés d’installer des pancartes signalétiques (« agriculteur bio ») et de s’engager à effectuer un traitement larvicide sur leur parcelle en cas de besoin (notamment en présence d’eau stagnante).
Pour ce qui est de la préservation des ruchers, une mise à jour de leur recensement a été initiée afin de pouvoir alerter chaque apiculteur au minimum 48 heures avant les jours de traitement. Par ailleurs, deux mesures ont été proposées aux apiculteurs afin de protéger au mieux leurs ruchers, à savoir le calfeutrage temporaire de leurs ruches (claustrage) ou leur déménagement provisoire (transhumance des ruches).
Pour cela, une fiche technique de bonnes pratiques de claustrage est en cours de réalisation par le service du développement rural et sera diffusée aux apiculteurs. Des zones de refuge sont également en cours d’identification par les communes et le service du développement rural pour que les apiculteurs puissent y mettre leurs ruchers en toute sécurité.
En complément, des tests seront réalisés par les professionnels de l’apiculture, accompagnés des services techniques du Pays compétents, afin d’ajuster les paramètres techniques des deux solutions proposées et de veiller à leur bonne efficacité.
Enfin, le Ministère de l’Agriculture invite tous les apiculteurs non déclarés à ce jour, à se faire connaître le plus rapidement possible auprès du service du développement rural ou de leur mairie.
Monsieur Thomas MOUTAME, Ministre de l’Agriculture, tient à remercier l’ensemble des professionnels agricoles de leur implication pour assurer la réussite de ces opérations.
En effet, le Ministre porte une vigilance particulière à la préservation, autant que possible, des faapu « bio » et des abeilles et ceci sur l’ensemble de nos archipels. C’est dans cet objectif que plusieurs réunions ont été organisées tout au long de la semaine passée avec les professionnels concernés et le service du développement rural, afin d’évaluer les risques potentiels et de définir les mesures spécifiques à prendre pour les minimiser. Ces modes opératoires ont été validés par l’ensemble des professionnels consultés. Les équipes de démoustication intégreront des agents du service du développement rural, qui veilleront au bon respect des procédures retenues.
En ce qui concerne l’agriculture biologique, des cartes seront distribuées aux communes, pour permettre la localisation précise des exploitations et la mise en place d’une zone de non traitement, dite zone d’exclusion, autour de ces parcelles. L’association Bio Fetia et les agents du service du développement rural assureront le relais de l’information sur le terrain, les agriculteurs bio étant chargés d’installer des pancartes signalétiques (« agriculteur bio ») et de s’engager à effectuer un traitement larvicide sur leur parcelle en cas de besoin (notamment en présence d’eau stagnante).
Pour ce qui est de la préservation des ruchers, une mise à jour de leur recensement a été initiée afin de pouvoir alerter chaque apiculteur au minimum 48 heures avant les jours de traitement. Par ailleurs, deux mesures ont été proposées aux apiculteurs afin de protéger au mieux leurs ruchers, à savoir le calfeutrage temporaire de leurs ruches (claustrage) ou leur déménagement provisoire (transhumance des ruches).
Pour cela, une fiche technique de bonnes pratiques de claustrage est en cours de réalisation par le service du développement rural et sera diffusée aux apiculteurs. Des zones de refuge sont également en cours d’identification par les communes et le service du développement rural pour que les apiculteurs puissent y mettre leurs ruchers en toute sécurité.
En complément, des tests seront réalisés par les professionnels de l’apiculture, accompagnés des services techniques du Pays compétents, afin d’ajuster les paramètres techniques des deux solutions proposées et de veiller à leur bonne efficacité.
Enfin, le Ministère de l’Agriculture invite tous les apiculteurs non déclarés à ce jour, à se faire connaître le plus rapidement possible auprès du service du développement rural ou de leur mairie.
Monsieur Thomas MOUTAME, Ministre de l’Agriculture, tient à remercier l’ensemble des professionnels agricoles de leur implication pour assurer la réussite de ces opérations.
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