PARIS, mardi 17 décembre 2013. Le P-dg de la compagnie Air Tahiti Nui, a tenu une conférence de presse ce mardi à Paris dans les salons de L'Aéro-Club de France, à l’issue de laquelle un long communiqué a été publié aux organes de presse nationaux. Michel Monvoisin qui avait accompagné le président du Pays Gaston Flosse et le ministre du tourisme Geffry Salmon à Los Angeles en fin de semaine dernière pour des négociations avec Hawaiian Airlines en vue de l’ouverture d’une ligne San Francisco/Papeete/Honolulu avait poursuivi son périple en direction de la métropole. Il ne rentrera à Tahiti qu’en fin de cette semaine. C’est donc depuis Paris que Michel Monvoisin a livré les résultats positifs de la compagnie au tiare dont il pilote la destinée depuis le 11 octobre dernier. Il est également depuis le 22 novembre le président du GIE Tahiti Tourisme.
Pour les chiffres révélés ce mardi à la presse spécialisée parisienne, après l’équilibre financier retrouvé en 2012 par la compagnie aérienne qui appartient au Pays, 2013 devrait être stable avec toutefois une légère amélioration positive. Le coefficient moyen de remplissage passe à 73,9% (+1,1point par rapport à 2012). Le chiffre d’affaires 2013 devrait être en hausse à 31 milliards de Fcfp (+3,5%) avec un résultat net positif estimé à 1,1 milliard de Fcfp.
L’année 2014 pourrait donc pour Air Tahiti Nui être celle du décollage et les prévisions du P-dg de la compagnie sont positives avec une progression des vols sur le réseau régulier déjà existant. Il est ainsi prévu une fréquence hebdomadaire supplémentaire entre Papeete et Auckland et une fréquence supplémentaire entre Paris et Papeete en basse saison. Ceci est sans compter sur les éventuelles ouvertures de nouvelles lignes qui pourraient intervenir dans un avenir à court ou moyen terme : avec Hawaiian Airlines notamment, même si le coût de l’aéroport de Tahiti Faa’a freine un peu les ambitions ou encore avec la Chine.
Ainsi, alors que le rapport de la Chambre territoriale des comptes sur Air Tahiti Nui sur les années 2008 à 2011, publié cette année 2013, notait que la compagnie n’avait pas «été en mesure de reprendre complètement son destin en main», il semble désormais que le plan de redressement mis en place par la compagnie a fini par payer au moins sur le retour à l’équilibre financier d’ATN, qui avait accumulé des pertes approchant les 9 milliards de Fcfp entre 2008 et 2011. Au point qu’il avait fallu que la compagnie procède en 2011 à une diminution drastique de son capital social. La valeur de l’action a été divisée par 8 et ramenée de 1 000 Fcfp à 125 Fcfp. Le capital social de l’entreprise est dans le même temps passé de près de 13 milliards de Fcfp à un peu plus de 1,6 milliard de Fcfp.
Pour les chiffres révélés ce mardi à la presse spécialisée parisienne, après l’équilibre financier retrouvé en 2012 par la compagnie aérienne qui appartient au Pays, 2013 devrait être stable avec toutefois une légère amélioration positive. Le coefficient moyen de remplissage passe à 73,9% (+1,1point par rapport à 2012). Le chiffre d’affaires 2013 devrait être en hausse à 31 milliards de Fcfp (+3,5%) avec un résultat net positif estimé à 1,1 milliard de Fcfp.
L’année 2014 pourrait donc pour Air Tahiti Nui être celle du décollage et les prévisions du P-dg de la compagnie sont positives avec une progression des vols sur le réseau régulier déjà existant. Il est ainsi prévu une fréquence hebdomadaire supplémentaire entre Papeete et Auckland et une fréquence supplémentaire entre Paris et Papeete en basse saison. Ceci est sans compter sur les éventuelles ouvertures de nouvelles lignes qui pourraient intervenir dans un avenir à court ou moyen terme : avec Hawaiian Airlines notamment, même si le coût de l’aéroport de Tahiti Faa’a freine un peu les ambitions ou encore avec la Chine.
Ainsi, alors que le rapport de la Chambre territoriale des comptes sur Air Tahiti Nui sur les années 2008 à 2011, publié cette année 2013, notait que la compagnie n’avait pas «été en mesure de reprendre complètement son destin en main», il semble désormais que le plan de redressement mis en place par la compagnie a fini par payer au moins sur le retour à l’équilibre financier d’ATN, qui avait accumulé des pertes approchant les 9 milliards de Fcfp entre 2008 et 2011. Au point qu’il avait fallu que la compagnie procède en 2011 à une diminution drastique de son capital social. La valeur de l’action a été divisée par 8 et ramenée de 1 000 Fcfp à 125 Fcfp. Le capital social de l’entreprise est dans le même temps passé de près de 13 milliards de Fcfp à un peu plus de 1,6 milliard de Fcfp.
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